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Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
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Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Par Bruno Roger-Petit
Publié le 14-07-2015 à 14h37 - Mis à jour à 21h00
François Hollande s'est posé ce mardi en chef d'une France ambitieuse et déterminée à jouer son rôle en Europe et dans le monde. Un habile contre-emploi au rôle joué par Nicolas Sarkozy?
Face à Claire Chazal et David Pujadas, François Hollande a achevé sa pièce de la semaine en deux actes: La Tragédie de Nicolas Sarkozy. La Grèce et le 14 juillet ont permis à Hollande de montrer qu'en certaines circonstances, il sait être un gouvernant décent. Le calendrier l'a bien servi. Se poser en sauveur de l'Europe avant de prendre la pose du protecteur de la France, la séquence est réussie.
Ce 14 juillet, le président Hollande s'est montré à son aise. Comme porté par son succès européen de la semaine. Face à un David Pujadas qui cherchait la petite bête identitaire, le chef de l'Etat s'en est sorti à l'aise: "Ce que nous devons porter, c'est l'idée de la France", "Un pays comme le notre doit être porté par le mouvement", "C'était mieux avant le 20e siècle, avec deux guerres mondiales ?", "Je ne suis pas pour la France crispée", "C'est la France qui a la réponse"... Et cette phrase enfin, comme inspirée par les Forces de l'esprit : "Ce que j'ai à faire en tant que président c'est emmener la France et préserver son âme"...
Jamais le président Hollande n'avait autant parlé de sa vision de la France, allant même jusqu'à évacuer la question de l'élection présidentielle à venir face à Nicolas Sarkozy d'un "Ce n'est pas sur ma table de travail"... Du bon usage du mépris gaullien...
Un président acteur et non commentateur
Crise grecque résolue (pour un temps au moins), accord avec l'Iran sur le nucléaire, défense des services français en première ligne contre le terrorisme... Le président n'était pas le commentateur de son action mais l'acteur. Signe de l'époque, pour une fois le président Hollande n'a pas commencé son intervention télévisée par un pénible cours de macro-économie, mais par les problèmes de la planète. Les temps changent... Hollande en Président souverain. Tout peut arriver à point pour qui sait attendre...
Avant Hollande le souverain, on avait eu Hollande le négociateur habile de la question grecque. "Pour lui, c'était une nuit de commission de résolutions" confiait ces derniers jours un (très haut) responsable du Parti socialiste afin d'expliquer les succès hollandais à l'échelle de la crise grecque. Comment dire mieux que, dans le fond, François Hollande demeure un éternel Premier secrétaire? Mieux vaut un accord que pas d'accord, et peu importe le prix. Mieux vaut une apparence qu'une réalité car en politique, ce sont les apparences qui comptent. A François Hollande les apparences et les congratulations comme on les aime en France, à Angela Merkel la réalité et le silence, comme on les apprécie en Allemagne.
François Hollande ne sera jamais Président de la Ve République comme le furent les cinq premiers titulaires de la charge. Il n'est pas de ceux dont le profil est de médaille. C'est ainsi. Le quinquennat a bouleversé le destin d'un homme qui, dans le fond, était taillé pour être le second Premier ministre d'un septennat, quand, passé le temps des réformes, vient le temps du statu quo. François Hollande n'est pas la Figure du Roi vantée par Emmanuel Macron. Les Français devront faire avec. Encore.
Un personnage balzacien
Le Chef de l’État n'est pas un personnage hugolien. Une réunion Hollande, Jouyet, Désir n'aurait pas inspiré à l'écrivain la même verve que la scène de la confrontation Robespierre, Marat et Danton décrite dans 93. Non. En vérité, François Hollande est balzacien. Il est César Birotteau retrouvant sa boutique grâce à Anselme Popinot. En 2015, Popinot, c'est Gaspard Gantzer, l'énarque communicant de l’Élysée, qui apprend à Birotteau comment reconquérir des parts de marché via Twitter et Facebook. Puisque l'on renonce à la figure du Roi, alors va pour le petit commerce de proximité...
Il n'est pas question ici de disserter, une fois de plus, sur la "représidentialisation" de François Hollande. Comment pourrait-il y avoir "représidentialisation" alors même qu'il n'y a jamais eu de présidentialisation ? L'essentiel n'est plus là. Dorénavant ce qu'est et propose François Hollande se doit d'être pesé et mesuré au regard de la concurrence qui se profile en 2017, notamment du côté de "Les Républicains", car la chance du président est d'être confronté à Nicolas Sarkozy.
L'ancien président, lui, se "déprésidentialise" à grande vitesse. Sa dernière semaine médiatique, comparée à celle de Hollande, est exemplaire de tous les travers qui empêche le leader de « Les Républicains » de s'élever aux yeux des Français. Sarkozy a commis toutes les erreurs qu'il ne fallait pas commettre. Tour à tour girouette, tournant au gré du vent soufflé par Alain Juppé, ou cocu mauvais joueur, s’agaçant de voir Hollande s'égayer en compagnie d'Angela Merkel, l'ancien président a raté sa séquence. L'esprit du 11 janvier façon Nicolas Sarkozy, c'est de s'imposer sur des photos où il n'a plus rien à faire aux yeux des Français.
Le favori pour 2017... mais à quel prix?
Quel étrange paradoxe... Alors que la droite ne devrait avoir qu'à se baisser pour ramasser le pouvoir en 2017, la voilà prête à offrir le sceptre du candidat à celui qui est le seul à être capable de la faire perdre... Combien de temps le noyau dur de la droite, parmi les militants, sympathisants et électeurs de LR, va-t-il continuer à vouloir confier le destin de son camp à celui qui est le plus susceptible de transformer une inéluctable victoire à l'élection présidentielle en défaite surprise?
Certes, nous n'en sommes pas encore là. Pour le moment, malgré son retour raté, ses numéros de stand-up en mode Jamel comedy club de patronage, ses volte-faces déconcertantes, sa dépression politique chronique, Nicolas Sarkozy demeure le favori du rendez-vous de 2017. Pour le moment, il rassemble son camp et seulement son camp et cela seul lui importe. Mais à quel prix ?
Nicolas Sarkozy est un personnage à la Goscinny, entre Iznogoud et Joe Dalton. "Lucky Luke je le hais !", scande sans cesse le leader des frères Dalton, à l'image d'un Sarkozy obsédé par Hollande, et qui s’abîme tout seul, jour après jour, comme en proie à un syndrome d'échec pour le moins surprenant. La haine tue la lucidité, mais apparemment, l'ancien président l'ignore. Quel est le secret de Nicolas Sarkozy pour se rendre chaque jour un peu plus impopulaire?
Cela étant, n'en déplaise aux admirateurs de la maestria hollandaise déployée ces derniers jours, la séquence Grèce et 14 juillet ne bouleversera pas le rapport actuel des forces en présence. En l'état, Nicolas Sarkozy demeure le favori de la prochaine échéance présidentielle. Mais cette même séquence a le mérite de montrer que rien n'est figé. Que le favori porte sa propre faiblesse. Qu'il demeure un boulet qui empêche la droite française de se régénérer. Que François Hollande, César Birotteau de la communication politique sous la Ve République, n'a pas encore rendu les armes. Que son meilleur allié, n'en déplaise au noyau dur sarkozyste, demeure bien Nicolas Sarkozy lui-même. Et que si l'on était les communicants élyséens, à l'exemple de leurs prédécesseurs de 1980 qui avaient théorisé l'affrontement Giscard/Mitterrand en Roosevelt/Louis XV, on continuerait à creuser le sillon.
2017 se doit d'être le duel César Birotteau/Joe Dalton. Parce qu'on a beau dire, quand bien même César Birotteau est certes peu exaltant, il est quand même plus rassurant que Joe Dalton!
http://www.challenges.fr/politique/20150714.CHA7833/le-14-juillet-souverain-de-hollande-la-tragedie-de-sarkozy-continue.html
Par Bruno Roger-Petit
Publié le 14-07-2015 à 14h37 - Mis à jour à 21h00
François Hollande s'est posé ce mardi en chef d'une France ambitieuse et déterminée à jouer son rôle en Europe et dans le monde. Un habile contre-emploi au rôle joué par Nicolas Sarkozy?
Face à Claire Chazal et David Pujadas, François Hollande a achevé sa pièce de la semaine en deux actes: La Tragédie de Nicolas Sarkozy. La Grèce et le 14 juillet ont permis à Hollande de montrer qu'en certaines circonstances, il sait être un gouvernant décent. Le calendrier l'a bien servi. Se poser en sauveur de l'Europe avant de prendre la pose du protecteur de la France, la séquence est réussie.
Ce 14 juillet, le président Hollande s'est montré à son aise. Comme porté par son succès européen de la semaine. Face à un David Pujadas qui cherchait la petite bête identitaire, le chef de l'Etat s'en est sorti à l'aise: "Ce que nous devons porter, c'est l'idée de la France", "Un pays comme le notre doit être porté par le mouvement", "C'était mieux avant le 20e siècle, avec deux guerres mondiales ?", "Je ne suis pas pour la France crispée", "C'est la France qui a la réponse"... Et cette phrase enfin, comme inspirée par les Forces de l'esprit : "Ce que j'ai à faire en tant que président c'est emmener la France et préserver son âme"...
Jamais le président Hollande n'avait autant parlé de sa vision de la France, allant même jusqu'à évacuer la question de l'élection présidentielle à venir face à Nicolas Sarkozy d'un "Ce n'est pas sur ma table de travail"... Du bon usage du mépris gaullien...
Un président acteur et non commentateur
Crise grecque résolue (pour un temps au moins), accord avec l'Iran sur le nucléaire, défense des services français en première ligne contre le terrorisme... Le président n'était pas le commentateur de son action mais l'acteur. Signe de l'époque, pour une fois le président Hollande n'a pas commencé son intervention télévisée par un pénible cours de macro-économie, mais par les problèmes de la planète. Les temps changent... Hollande en Président souverain. Tout peut arriver à point pour qui sait attendre...
Avant Hollande le souverain, on avait eu Hollande le négociateur habile de la question grecque. "Pour lui, c'était une nuit de commission de résolutions" confiait ces derniers jours un (très haut) responsable du Parti socialiste afin d'expliquer les succès hollandais à l'échelle de la crise grecque. Comment dire mieux que, dans le fond, François Hollande demeure un éternel Premier secrétaire? Mieux vaut un accord que pas d'accord, et peu importe le prix. Mieux vaut une apparence qu'une réalité car en politique, ce sont les apparences qui comptent. A François Hollande les apparences et les congratulations comme on les aime en France, à Angela Merkel la réalité et le silence, comme on les apprécie en Allemagne.
François Hollande ne sera jamais Président de la Ve République comme le furent les cinq premiers titulaires de la charge. Il n'est pas de ceux dont le profil est de médaille. C'est ainsi. Le quinquennat a bouleversé le destin d'un homme qui, dans le fond, était taillé pour être le second Premier ministre d'un septennat, quand, passé le temps des réformes, vient le temps du statu quo. François Hollande n'est pas la Figure du Roi vantée par Emmanuel Macron. Les Français devront faire avec. Encore.
Un personnage balzacien
Le Chef de l’État n'est pas un personnage hugolien. Une réunion Hollande, Jouyet, Désir n'aurait pas inspiré à l'écrivain la même verve que la scène de la confrontation Robespierre, Marat et Danton décrite dans 93. Non. En vérité, François Hollande est balzacien. Il est César Birotteau retrouvant sa boutique grâce à Anselme Popinot. En 2015, Popinot, c'est Gaspard Gantzer, l'énarque communicant de l’Élysée, qui apprend à Birotteau comment reconquérir des parts de marché via Twitter et Facebook. Puisque l'on renonce à la figure du Roi, alors va pour le petit commerce de proximité...
Il n'est pas question ici de disserter, une fois de plus, sur la "représidentialisation" de François Hollande. Comment pourrait-il y avoir "représidentialisation" alors même qu'il n'y a jamais eu de présidentialisation ? L'essentiel n'est plus là. Dorénavant ce qu'est et propose François Hollande se doit d'être pesé et mesuré au regard de la concurrence qui se profile en 2017, notamment du côté de "Les Républicains", car la chance du président est d'être confronté à Nicolas Sarkozy.
L'ancien président, lui, se "déprésidentialise" à grande vitesse. Sa dernière semaine médiatique, comparée à celle de Hollande, est exemplaire de tous les travers qui empêche le leader de « Les Républicains » de s'élever aux yeux des Français. Sarkozy a commis toutes les erreurs qu'il ne fallait pas commettre. Tour à tour girouette, tournant au gré du vent soufflé par Alain Juppé, ou cocu mauvais joueur, s’agaçant de voir Hollande s'égayer en compagnie d'Angela Merkel, l'ancien président a raté sa séquence. L'esprit du 11 janvier façon Nicolas Sarkozy, c'est de s'imposer sur des photos où il n'a plus rien à faire aux yeux des Français.
Le favori pour 2017... mais à quel prix?
Quel étrange paradoxe... Alors que la droite ne devrait avoir qu'à se baisser pour ramasser le pouvoir en 2017, la voilà prête à offrir le sceptre du candidat à celui qui est le seul à être capable de la faire perdre... Combien de temps le noyau dur de la droite, parmi les militants, sympathisants et électeurs de LR, va-t-il continuer à vouloir confier le destin de son camp à celui qui est le plus susceptible de transformer une inéluctable victoire à l'élection présidentielle en défaite surprise?
Certes, nous n'en sommes pas encore là. Pour le moment, malgré son retour raté, ses numéros de stand-up en mode Jamel comedy club de patronage, ses volte-faces déconcertantes, sa dépression politique chronique, Nicolas Sarkozy demeure le favori du rendez-vous de 2017. Pour le moment, il rassemble son camp et seulement son camp et cela seul lui importe. Mais à quel prix ?
Nicolas Sarkozy est un personnage à la Goscinny, entre Iznogoud et Joe Dalton. "Lucky Luke je le hais !", scande sans cesse le leader des frères Dalton, à l'image d'un Sarkozy obsédé par Hollande, et qui s’abîme tout seul, jour après jour, comme en proie à un syndrome d'échec pour le moins surprenant. La haine tue la lucidité, mais apparemment, l'ancien président l'ignore. Quel est le secret de Nicolas Sarkozy pour se rendre chaque jour un peu plus impopulaire?
Cela étant, n'en déplaise aux admirateurs de la maestria hollandaise déployée ces derniers jours, la séquence Grèce et 14 juillet ne bouleversera pas le rapport actuel des forces en présence. En l'état, Nicolas Sarkozy demeure le favori de la prochaine échéance présidentielle. Mais cette même séquence a le mérite de montrer que rien n'est figé. Que le favori porte sa propre faiblesse. Qu'il demeure un boulet qui empêche la droite française de se régénérer. Que François Hollande, César Birotteau de la communication politique sous la Ve République, n'a pas encore rendu les armes. Que son meilleur allié, n'en déplaise au noyau dur sarkozyste, demeure bien Nicolas Sarkozy lui-même. Et que si l'on était les communicants élyséens, à l'exemple de leurs prédécesseurs de 1980 qui avaient théorisé l'affrontement Giscard/Mitterrand en Roosevelt/Louis XV, on continuerait à creuser le sillon.
2017 se doit d'être le duel César Birotteau/Joe Dalton. Parce qu'on a beau dire, quand bien même César Birotteau est certes peu exaltant, il est quand même plus rassurant que Joe Dalton!
http://www.challenges.fr/politique/20150714.CHA7833/le-14-juillet-souverain-de-hollande-la-tragedie-de-sarkozy-continue.html
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Sarkozy = Hollande = De la daube en barre.
Invité- Invité
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Didier l'embrouille a écrit:Sarkozy = Hollande = De la daube en barre.
et en place tu vois qui ?
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Personne, c'est tous les même.
Invité- Invité
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Didier l'embrouille a écrit:Personne, c'est tous les même.
Trop simpliste cette réponse ! Quand on accuse quelqu'un d'incompétence on nomme celui que serait plus compétent !
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Celui qui est plus compétent n'existe pas, ou serait flingué directement.
Tous les politiques sont dans la même clique de bourgeois coupés du monde.
C'est pas une "réponse simpliste" c'est la réalité. C'est bien pour ça que je ne vote pas, j'participe pas à ce carnaval.
Tous les politiques sont dans la même clique de bourgeois coupés du monde.
C'est pas une "réponse simpliste" c'est la réalité. C'est bien pour ça que je ne vote pas, j'participe pas à ce carnaval.
Invité- Invité
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Tu votes même pas pour tes amis rouges qui continuent à brandire des drapeaux de l'URSS ?
Neko- Messages : 638
Date d'inscription : 14/11/2014
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Neko a écrit:Tu votes même pas pour tes amis rouges qui continuent à brandire des drapeaux de l'URSS ?
Chut ! Il faut pas le dire...
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Ou ça des drapeaux de l'URSS ?
Louis Quemener- Messages : 1543
Date d'inscription : 27/05/2015
Localisation : Bretagne
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Didier l'embrouille a écrit:Celui qui est plus compétent n'existe pas, ou serait flingué directement.
Tous les politiques sont dans la même clique de bourgeois coupés du monde.
C'est pas une "réponse simpliste" c'est la réalité. C'est bien pour ça que je ne vote pas, j'participe pas à ce carnaval.
ouai .... tu as peut-être raison ! Moi je vote parce que pour moi c'est un devoir c'est tout con mais c'est comme ça !
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Louis Quemener a écrit:Ou ça des drapeaux de l'URSS ?
Zet toujours en quette d'un trophée ?
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
c'est surtout que je suis sceptique, des torchons rouges divers et variés oui ça ne manque pas, mais LE drapeau de l'urss plus personne (à part certains NS de gauche ou des hurluberlus isolés à la fete de l'huma) ne s'en revendique.
Louis Quemener- Messages : 1543
Date d'inscription : 27/05/2015
Localisation : Bretagne
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Le PCF utilise toujours un truc plus stylisé, mais il y a des drapeaux historiques qui trainent.
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Le PSF n'est plus communiste, les mecs ont viré la dictature du proletariat et la lutte des classes de leurs idées, alors il reste quoi ? "bêêêh on veut une revolution bourgeoise".
Il faut vraiment aller dans des groupuscules genre PRCF pour voir des drapeaux sovietiques (autrement dit 10 pelerins à la fete de l'huma).
Il faut vraiment aller dans des groupuscules genre PRCF pour voir des drapeaux sovietiques (autrement dit 10 pelerins à la fete de l'huma).
Louis Quemener- Messages : 1543
Date d'inscription : 27/05/2015
Localisation : Bretagne
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Le PCF utilise toujours la faucille et le marteau sur leurs drapeaux, c'est très stylisé mais encore présent.
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Mouais, c'est très anecdotique et en voie de disparition , on doit pouvoir aller à 10 manifs pcf sans en voir même s'il y en aura forcement, et surtout c'est pas le drapeau de l'urss.
Louis Quemener- Messages : 1543
Date d'inscription : 27/05/2015
Localisation : Bretagne
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
En effet techniquement celui du PCF qui traine n'est pas celui de l'URRSS. Mais j'ai vu des drapeaux historique dans certaines manifs (ok çà fait un bon moment déjà).
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Nan mais un gus isolé tout seul bon ... la derniere fois que j'en ai vu en dehors d'un cadre privé, de l'huma ou de mes propres potes, c'etait à Rennes (donc deja rennes la sovietique ça ne compte pas, c'est l'endroit le plus bolchevique du monde) à une manif anti sarko, ca date de 2007.
Louis Quemener- Messages : 1543
Date d'inscription : 27/05/2015
Localisation : Bretagne
Re: Le 14 juillet souverain de Hollande: la tragédie de Sarkozy se poursuit
Louis Quemener a écrit:(donc deja rennes la sovietique ça ne compte pas, c'est l'endroit le plus bolchevique du monde)
Je sais, je vais plus au centre ville que pour aller à Colombia pour les cadeaux de noel....
PS : Ah oui et le vendeur de costume grande taille près de la place des Lys aussi...Capel il est bien...
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
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