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Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
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Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Publié le 14-07-2015 à 13h46 - Mis à jour à 20h42
Le chef de l'Etat s'est soumis ce mardi au traditionnel exercice de l'entretien télévisé du 14 juillet. L'occasion d'aborder les sujets chauds du moment et de se poser en président "ambitieux". Voici ses principales déclarations.
François Hollande s'est soumis mardi 14 juillet au traditionnel entretien télévisé, l'occasion pour le chef de l'Etat de revenir sur les dossiers chauds du moment : l'accord avec la Grèce, l'accord avec l'Iran sur le nucléaire, mais aussi les menaces terroristes en France. Voici ses principales déclarations.
• La Grèce
La France a pris "toute sa place" et "joué tout son rôle" pour contribuer à maintenir la Grèce dans la zone euro, s'est félicité mardi le président Hollande, se refusant toutefois à dire que Paris avait "gagné". "Je ne dis pas que c'est la France qui a gagné parce que ce n'est pas conforme à l'idée que je me fais. C'est l'Europe qui a gagné et la France qui a pris toute sa place et joué tout son rôle", a déclaré le chef de l'Etat.
"Je n'accepte pas qu'un peuple puisse être humilié", a-t-il ajouté à propos de la Grèce. "L'humiliation, c'eût été de la chasser de la zone euro", a-t-il estimé. "Là, c'est la Grèce qui a proposé les réformes" et "le Premier ministre (Alexis) Tsipras (qui) a fait voter ces réformes avant même qu'il ne vienne à la table de la réunion" à Bruxelles.
François Hollande a estimé qu'"il n'y aurait pas eu d'accord" sur la dette grecque à Bruxelles, "sans le coupe franco-allemand". Il a ajouté que la Chancelière allemande Angela Merkel "avait des raisons d'être méfiante" mais "avait été au rendez-vous de l'Europe".
Le chef de l'Etat a également révélé la teneur de ses discussions avec le Premier ministre grec, notamment au lendemain du référendum. "Je lui ai dit: +maintenant tu es plus fort dans ton pays, c'est sûr avec ce référendum, mais tu es plus faible en Europe. Est-ce que vous voulez rester ou pas dans la zone euro?+ ", a raconté François Hollande. "Si vous voulez rester, vous devez donner des preuves. La France vous soutiendra mais vous devez donner des preuves+", a-t-il poursuivi.
"Je lui ai donné cette formule: aide moi à t'aider, aide la France à aider la Grèce", a exhorté François Hollande. "Et la Grèce a fait des gestes qui étaient attendus et la France a aidé la Grèce".
• La zone euro
La France, "en cohérence" avec son partenaire allemand, va faire des "propositions" pour la création d'un "gouvernement économique européen". "Je proposerai que l'on puisse aller plus loin sur le gouvernement économique", a déclaré le président de la République. "Il faut qu'il y ait un gouvernement économique européen" pour endiguer les crises successives dans l'Union européenne, a-t-il ajouté. La zone euro pourrait être dotée d'un "budget" pour "pouvoir agir en termes d'investissement" et "donner à l'Europe des bases plus solides, plus fortes dans l'intérêt des peuples".
• L'accord iranien sur le nucléaire
"C'est un accord très important qui a été signé cette nuit, décidément le monde avance". Cet accord conclu à Vienne prévoit que Téhéran limite ses ambitions nucléaires pendant plusieurs années, en échange d'une levée progressive et réversible des sanctions internationales.
"Maintenant que l'Iran va avoir des capacités plus grandes sur le plan financier puisqu'il n'y aura plus de sanctions, nous devons être extrêmement vigilants sur ce que va être l'Iran. L'Iran doit montrer sur la Syrie que ce pays est prêt à nous aider à en finir avec ce conflit"
"L'Iran n'aura pas accès à l'arme nucléaire, nous pourrons vérifier et s'il y a des manquements, nous pourrons remettre des sanctions", a résumé François Hollande.
• Le terrorisme
"Nous sommes face à des groupes qui veulent mettre en cause les civilisations, toutes les civilisations", a déclaré François Hollande, interrogé sur la "guerre de civilisation" dénoncée à la fin juin par son Premier ministre Manuel Valls, après des attentats sanglants en France, en Tunisie et au Koweït. "Les victimes de ce groupe (l'organisation État islamique, ndlr) sont de toutes les religions, de toutes les origines. Les premières victimes sont des victimes musulmanes en Syrie et en Irak, et puis il y a les chrétiens d'Orient qui font l'objet là aussi de massacres".
"Ce que cherche ce groupe, c'est nous diviser, faire qu'il y ait une guerre de religion, faire que nous puissions entre Français nous soupçonner" en faisant notamment l'amalgame entre musulmans et islamistes, a-t-il déclaré, appelant le peuple à "être uni" et à ne pas "céder" à la peur. "Moi, je ne dois pas avoir peur, mais les Français ne doivent pas avoir peur. Nous sommes un peuple qui ne doit jamais céder face à la menace", a-t-il martelé, invitant les Français à "ne jamais montrer" leurs angoisses, "parce que montrer, c'est céder".
"Il n'y a pas de religion d'État en France qui voudrait soumettre d'autres religions", a-t-il ajouté, invitant "à montrer face à ces volontés de destruction, de séparation, de suspicion que nous sommes unis". "La patrie, ce n'est pas pour s'en prendre aux autres, c'est pour être sûr que nous portons les mêmes idéaux, les mêmes principes, les mêmes valeurs (...) Si nous renonçons à ce patrimoine-là, à cet idéal-là, alors nous nous perdons, c'est ce que cherchent les terroristes", a-t-il fait valoir.
"Rien ne sera relâché" en France concernant la sécurité, dans un contexte de forte menace terroriste six mois après les attentats de janvier, a martelé le chef de l'Etat. "Ca peut durer et ça va durer", a-t-il dit. "Pour l'année, 2015, ça sera tout au long de ces prochains mois. Rien ne sera relâché". "Nous sommes mobilisés et je ne veux pas que les Français puissent avoir le moindre doute sur le dispositif que nous avons mis en place. Actuellement il y a 30.000 policiers, gendarmes, militaires qui surveillent des sites", a-t-il souligné.
• La croissance et l'emploi en France
"La croissance est là, mais elle est encore trop faible" avec la prévision Insee d'une progression de 1,2% du Produit intérieur brut (PIB) en 2015, a jugé François Hollande, faisant voeu d'activer tous les "facteurs de croissance". Les décrets de la loi Macron, que le gouvernement veut décisive pour relancer l'économie, seront "pris pour l'été", ce qui va "libérer un certain nombre d'activités", a-t-il indiqué.
En outre, le chef de l'Etat a réitéré sa volonté de ne pas être candidat en 2017, si le chômage ne baissait pas d'ici là. "Je serai jugé sur une obligation de résultat. S'il n'y a pas de baisse du chômage, je l'ai dit plusieurs fois, je ne serai pas candidat", a-t-il réaffirmé.
• Sa relation avec Manuel Valls
Interrogé sur sa relation avec son Premier ministre, le président de la République a indiqué que Manuel Valls avait vocation à rester le chef du gouvernement jusqu'à la fin du quinquennat. "Nous avons un bon Premier ministre qui a pris des engagements", a déclaré le chef de l'Etat. "Ce Premier ministre doit terminer le quinquennat avec moi".
Concernant le retour des écologistes au gouvernement, il a affirmé que "ceux qui veulent venir sont les bienvenus", à condition de respecter le programme mis en oeuvre. "Ce qui compte c'est de venir servir son pays", a-t-il ajouté, notant que sa position est "simple": "Je ne vais pas faire le contrôle à l'entrée", a-t-il ironisé, mais "s'ils pensent que ce que nous faisons va dans le bon sens, ils sont les bienvenus".
• La présidentielle de 2017
"Si je pensais à l'élection présidentielle aujourd'hui, franchement je serais à côté du sujet". "Nous sommes à près de deux ans de l'échéance. Vous avez vu les sujets qui sont les miens? La Grèce, l'Iran, la sécurité, l'emploi. Et je serais là en train de chercher à vouloir imposer une candidature?". "Deuxièmement, j'ai une obligation de résultat", a-t-il souligné. "Personne ne m'a demandé de venir à la place où je suis. Je l'ai voulu, donc je dois assumer cette tâche", a-t-il dit. "Parce que si les Français, même s'ils pouvaient juger que je me suis donné autant qu'il était possible, que j'ai même pris de bonnes décisions, s'il n'y a pas de résultats, mais pourquoi ils me feraient confiance pour cinq ans de plus? C'est un principe de responsabilité. Je ne suis pas là pour fuir devant les responsabilités, pour m'accrocher".
• Nicolas Sarkozy
Le chef de l'Etat a affirmé que la possibilité que Nicolas Sarkozy se présente à la présidentielle de 2017 n'était "pas" un sujet sur sa table de travail. Alors qu'on lui demandait si Sarkozy n'était pas, de par son côté clivant, le meilleur candidat pour la présidentielle de 2017 aux yeux de la gauche, François Hollande a répondu: "J'ai suffisamment de sujets à traiter, celui-là n'est pas sur ma table de travail."
http://www.challenges.fr/economie/20150714.CHA7832/grece-terrorisme-iran-chomage-ce-qu-il-faut-retenir-de-l-intervention-de-francois-hollande.html?cm_mmc=EMV-_-CHA-_-20150714_NLCHAACTU18H-_-grece-terrorisme-iran-chomage-sarkozy-ce-qu-il-faut-savoir-des-declarations-de-hollande#xtor=EPR-7-[Quot18h]-20150714
Publié le 14-07-2015 à 13h46 - Mis à jour à 20h42
Le chef de l'Etat s'est soumis ce mardi au traditionnel exercice de l'entretien télévisé du 14 juillet. L'occasion d'aborder les sujets chauds du moment et de se poser en président "ambitieux". Voici ses principales déclarations.
François Hollande s'est soumis mardi 14 juillet au traditionnel entretien télévisé, l'occasion pour le chef de l'Etat de revenir sur les dossiers chauds du moment : l'accord avec la Grèce, l'accord avec l'Iran sur le nucléaire, mais aussi les menaces terroristes en France. Voici ses principales déclarations.
• La Grèce
La France a pris "toute sa place" et "joué tout son rôle" pour contribuer à maintenir la Grèce dans la zone euro, s'est félicité mardi le président Hollande, se refusant toutefois à dire que Paris avait "gagné". "Je ne dis pas que c'est la France qui a gagné parce que ce n'est pas conforme à l'idée que je me fais. C'est l'Europe qui a gagné et la France qui a pris toute sa place et joué tout son rôle", a déclaré le chef de l'Etat.
"Je n'accepte pas qu'un peuple puisse être humilié", a-t-il ajouté à propos de la Grèce. "L'humiliation, c'eût été de la chasser de la zone euro", a-t-il estimé. "Là, c'est la Grèce qui a proposé les réformes" et "le Premier ministre (Alexis) Tsipras (qui) a fait voter ces réformes avant même qu'il ne vienne à la table de la réunion" à Bruxelles.
François Hollande a estimé qu'"il n'y aurait pas eu d'accord" sur la dette grecque à Bruxelles, "sans le coupe franco-allemand". Il a ajouté que la Chancelière allemande Angela Merkel "avait des raisons d'être méfiante" mais "avait été au rendez-vous de l'Europe".
Le chef de l'Etat a également révélé la teneur de ses discussions avec le Premier ministre grec, notamment au lendemain du référendum. "Je lui ai dit: +maintenant tu es plus fort dans ton pays, c'est sûr avec ce référendum, mais tu es plus faible en Europe. Est-ce que vous voulez rester ou pas dans la zone euro?+ ", a raconté François Hollande. "Si vous voulez rester, vous devez donner des preuves. La France vous soutiendra mais vous devez donner des preuves+", a-t-il poursuivi.
"Je lui ai donné cette formule: aide moi à t'aider, aide la France à aider la Grèce", a exhorté François Hollande. "Et la Grèce a fait des gestes qui étaient attendus et la France a aidé la Grèce".
• La zone euro
La France, "en cohérence" avec son partenaire allemand, va faire des "propositions" pour la création d'un "gouvernement économique européen". "Je proposerai que l'on puisse aller plus loin sur le gouvernement économique", a déclaré le président de la République. "Il faut qu'il y ait un gouvernement économique européen" pour endiguer les crises successives dans l'Union européenne, a-t-il ajouté. La zone euro pourrait être dotée d'un "budget" pour "pouvoir agir en termes d'investissement" et "donner à l'Europe des bases plus solides, plus fortes dans l'intérêt des peuples".
• L'accord iranien sur le nucléaire
"C'est un accord très important qui a été signé cette nuit, décidément le monde avance". Cet accord conclu à Vienne prévoit que Téhéran limite ses ambitions nucléaires pendant plusieurs années, en échange d'une levée progressive et réversible des sanctions internationales.
"Maintenant que l'Iran va avoir des capacités plus grandes sur le plan financier puisqu'il n'y aura plus de sanctions, nous devons être extrêmement vigilants sur ce que va être l'Iran. L'Iran doit montrer sur la Syrie que ce pays est prêt à nous aider à en finir avec ce conflit"
"L'Iran n'aura pas accès à l'arme nucléaire, nous pourrons vérifier et s'il y a des manquements, nous pourrons remettre des sanctions", a résumé François Hollande.
• Le terrorisme
"Nous sommes face à des groupes qui veulent mettre en cause les civilisations, toutes les civilisations", a déclaré François Hollande, interrogé sur la "guerre de civilisation" dénoncée à la fin juin par son Premier ministre Manuel Valls, après des attentats sanglants en France, en Tunisie et au Koweït. "Les victimes de ce groupe (l'organisation État islamique, ndlr) sont de toutes les religions, de toutes les origines. Les premières victimes sont des victimes musulmanes en Syrie et en Irak, et puis il y a les chrétiens d'Orient qui font l'objet là aussi de massacres".
"Ce que cherche ce groupe, c'est nous diviser, faire qu'il y ait une guerre de religion, faire que nous puissions entre Français nous soupçonner" en faisant notamment l'amalgame entre musulmans et islamistes, a-t-il déclaré, appelant le peuple à "être uni" et à ne pas "céder" à la peur. "Moi, je ne dois pas avoir peur, mais les Français ne doivent pas avoir peur. Nous sommes un peuple qui ne doit jamais céder face à la menace", a-t-il martelé, invitant les Français à "ne jamais montrer" leurs angoisses, "parce que montrer, c'est céder".
"Il n'y a pas de religion d'État en France qui voudrait soumettre d'autres religions", a-t-il ajouté, invitant "à montrer face à ces volontés de destruction, de séparation, de suspicion que nous sommes unis". "La patrie, ce n'est pas pour s'en prendre aux autres, c'est pour être sûr que nous portons les mêmes idéaux, les mêmes principes, les mêmes valeurs (...) Si nous renonçons à ce patrimoine-là, à cet idéal-là, alors nous nous perdons, c'est ce que cherchent les terroristes", a-t-il fait valoir.
"Rien ne sera relâché" en France concernant la sécurité, dans un contexte de forte menace terroriste six mois après les attentats de janvier, a martelé le chef de l'Etat. "Ca peut durer et ça va durer", a-t-il dit. "Pour l'année, 2015, ça sera tout au long de ces prochains mois. Rien ne sera relâché". "Nous sommes mobilisés et je ne veux pas que les Français puissent avoir le moindre doute sur le dispositif que nous avons mis en place. Actuellement il y a 30.000 policiers, gendarmes, militaires qui surveillent des sites", a-t-il souligné.
• La croissance et l'emploi en France
"La croissance est là, mais elle est encore trop faible" avec la prévision Insee d'une progression de 1,2% du Produit intérieur brut (PIB) en 2015, a jugé François Hollande, faisant voeu d'activer tous les "facteurs de croissance". Les décrets de la loi Macron, que le gouvernement veut décisive pour relancer l'économie, seront "pris pour l'été", ce qui va "libérer un certain nombre d'activités", a-t-il indiqué.
En outre, le chef de l'Etat a réitéré sa volonté de ne pas être candidat en 2017, si le chômage ne baissait pas d'ici là. "Je serai jugé sur une obligation de résultat. S'il n'y a pas de baisse du chômage, je l'ai dit plusieurs fois, je ne serai pas candidat", a-t-il réaffirmé.
• Sa relation avec Manuel Valls
Interrogé sur sa relation avec son Premier ministre, le président de la République a indiqué que Manuel Valls avait vocation à rester le chef du gouvernement jusqu'à la fin du quinquennat. "Nous avons un bon Premier ministre qui a pris des engagements", a déclaré le chef de l'Etat. "Ce Premier ministre doit terminer le quinquennat avec moi".
Concernant le retour des écologistes au gouvernement, il a affirmé que "ceux qui veulent venir sont les bienvenus", à condition de respecter le programme mis en oeuvre. "Ce qui compte c'est de venir servir son pays", a-t-il ajouté, notant que sa position est "simple": "Je ne vais pas faire le contrôle à l'entrée", a-t-il ironisé, mais "s'ils pensent que ce que nous faisons va dans le bon sens, ils sont les bienvenus".
• La présidentielle de 2017
"Si je pensais à l'élection présidentielle aujourd'hui, franchement je serais à côté du sujet". "Nous sommes à près de deux ans de l'échéance. Vous avez vu les sujets qui sont les miens? La Grèce, l'Iran, la sécurité, l'emploi. Et je serais là en train de chercher à vouloir imposer une candidature?". "Deuxièmement, j'ai une obligation de résultat", a-t-il souligné. "Personne ne m'a demandé de venir à la place où je suis. Je l'ai voulu, donc je dois assumer cette tâche", a-t-il dit. "Parce que si les Français, même s'ils pouvaient juger que je me suis donné autant qu'il était possible, que j'ai même pris de bonnes décisions, s'il n'y a pas de résultats, mais pourquoi ils me feraient confiance pour cinq ans de plus? C'est un principe de responsabilité. Je ne suis pas là pour fuir devant les responsabilités, pour m'accrocher".
• Nicolas Sarkozy
Le chef de l'Etat a affirmé que la possibilité que Nicolas Sarkozy se présente à la présidentielle de 2017 n'était "pas" un sujet sur sa table de travail. Alors qu'on lui demandait si Sarkozy n'était pas, de par son côté clivant, le meilleur candidat pour la présidentielle de 2017 aux yeux de la gauche, François Hollande a répondu: "J'ai suffisamment de sujets à traiter, celui-là n'est pas sur ma table de travail."
http://www.challenges.fr/economie/20150714.CHA7832/grece-terrorisme-iran-chomage-ce-qu-il-faut-retenir-de-l-intervention-de-francois-hollande.html?cm_mmc=EMV-_-CHA-_-20150714_NLCHAACTU18H-_-grece-terrorisme-iran-chomage-sarkozy-ce-qu-il-faut-savoir-des-declarations-de-hollande#xtor=EPR-7-[Quot18h]-20150714
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
L'Iran a parfaitement le droit d'avoir l'arme atomique, j'vois pas pourquoi on les emmerde depuis 15 ans avec ça.
Encore un enchaînement de conneries de Flamby.
Encore un enchaînement de conneries de Flamby.
Invité- Invité
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Didier l'embrouille a écrit:L'Iran a parfaitement le droit d'avoir l'arme atomique, j'vois pas pourquoi on les emmerde depuis 15 ans avec ça.
Encore un enchaînement de conneries de Flamby.
Hollande n'est pas Président depuis 15 ans ....
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Hollande et ses précedesseurs, c'est la même clique qui vont bouffer ensemble au dîner du Siècle, qui pensent la même chose et qui sont copains comme cochons.
La seule bonne annonce c'est qu'il ne se représentera pas si le chômage ne baisse pas. On ne le reverra donc plus le Flamby.
La seule bonne annonce c'est qu'il ne se représentera pas si le chômage ne baisse pas. On ne le reverra donc plus le Flamby.
Invité- Invité
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Didier l'embrouille a écrit:Hollande et ses précedesseurs, c'est la même clique qui vont bouffer ensemble au dîner du Siècle, qui pensent la même chose et qui sont copains comme cochons.
La seule bonne annonce c'est qu'il ne se représentera pas si le chômage ne baisse pas. On ne le reverra donc plus le Flamby.
Non mais tu en verras un nouveau qui ne fera certainement pas mieux au niveau du chômage ! Un peu d'économie et tu verras que j'ai raison !
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
C'est ce que je dis. Hollande est aussi mauvais que ceux avant lui, et ceux après lui seront encore plus mauvais.
Invité- Invité
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Didier l'embrouille a écrit:C'est ce que je dis. Hollande est aussi mauvais que ceux avant lui, et ceux après lui seront encore plus mauvais.
j'en déduis qu'il est préférable de garder le meilleur du pire !
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Hollande, le meilleur ? Il va dégager dès le premier tour ce con.
Invité- Invité
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Didier l'embrouille a écrit:Hollande, le meilleur ? Il va dégager dès le premier tour ce con.
Et tu mets qui en place ? Ah c'est vrai tu ne connais personne !
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Les moutons mettront Sarko au pouvoir, c'est le plus probable pour l'instant ...
Le veaute ....
Le veaute ....
Louis Quemener- Messages : 1543
Date d'inscription : 27/05/2015
Localisation : Bretagne
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Le FN comme il est partie ne sera pas au second tour, les problèmes internes qu'ils essayent de cacher sont très importants surtout dans le sud de la France.
Au deuxième tour il y aura PS et Républicains (UMP) comme à chaque fois. La démocratie en France est confisqué par les partis politiques dominant. Il n'y a qu'un régime parlementaire avec la proportionnelle qui peut représenter les français dans leur diversité !
Au deuxième tour il y aura PS et Républicains (UMP) comme à chaque fois. La démocratie en France est confisqué par les partis politiques dominant. Il n'y a qu'un régime parlementaire avec la proportionnelle qui peut représenter les français dans leur diversité !
Neko- Messages : 638
Date d'inscription : 14/11/2014
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Ou alors pas de régime parlementaire du tout....
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Il n'y a pas de "diversité", le peuple veut unaniement (ceux qui ne le veulent pas ne sont que des bourgeois, des usuriers, des degenerés, des cas sociaux, des manipulés, des allogenes, des assistés... donc ennemis du peuple) le national socialisme qu'on leur cache (quand on n'agite pas des chiffons rouges passeistes plus ou moins fantasmés).
Alors "representer" quelle diversité puisque le peuple ne desire qu'une seule et même chose ?
Le peuple n'a pas à deleguer sa voix qui sera toujours recuperée et corrompue par l'oligarchie, il doit s'exprimer directement, c'est le principe du referendums.
Imaginer qu'on remplace chaque election de clowns (il y en a une tout les 6 mois) par un referendums sur une dizaines de points, imaginez deja tout ce sur quoi le peuple pourrait s'exprimer...
Alors "representer" quelle diversité puisque le peuple ne desire qu'une seule et même chose ?
Le peuple n'a pas à deleguer sa voix qui sera toujours recuperée et corrompue par l'oligarchie, il doit s'exprimer directement, c'est le principe du referendums.
Imaginer qu'on remplace chaque election de clowns (il y en a une tout les 6 mois) par un referendums sur une dizaines de points, imaginez deja tout ce sur quoi le peuple pourrait s'exprimer...
Louis Quemener- Messages : 1543
Date d'inscription : 27/05/2015
Localisation : Bretagne
Re: Grèce, Iran, Terrorisme, Chômage, Sarkozy... Ce qu'il faut retenir des déclarations de Hollande
Mince on a trouvé "Monsieur Peuple", c'est Louis !
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
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