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La France est notre mère, pas la République
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La France est notre mère, pas la République
Les politiciens français ne sont pas des patriotes, mais des idéologues. Ce qui explique qu’ils n’aiment pas la France, mais la République.
Les politiciens français ne sont pas des patriotes, mais des idéologues. Ce qui explique qu’ils n’aiment pas la France, mais la République. Qu’à une réalité charnelle ils préfèrent un concept abstrait. Qu’à notre histoire ils substituent un mythe, qu’à notre géographie ils aiment mieux celle du village mondial. Utopie, construction intellectuelle, nos cervelles d’énarques semblent n’utiliser leur intelligence que pour manier des idées, sans jamais les relier au réel, au monde sensible, à la vraie vie.
C’est ainsi que François Hollande, après tant d’autres phrases du même tonneau, disait l’autre jour à Sarre-Union : « la République aime tous ses enfants. » Révérence gardée, Monsieur le Président, ce blabla ne signifie rien.
La république n’est pas notre mère, ne vous en déplaise. Marianne n’a pas cinq enfants, comme le chantait joliment Michel Delpech. Elle n’est même pas jolie. La République, c’est un régime institutionnel, rien de plus, rien de moins. Libre à chacun de penser qu’il s’agit du meilleur pour notre pays, l’opinion est discutable, mais libre. Sauf pour les républicains.
Votre République, c’est un meurtre rituel et fondateur : celui d’un père de famille de 38 ans qui devait mourir pour que vive le régime. Un crime jamais renié, à la charge symbolique lourde de sens ; une religion nouvelle fondée sur le sang versé.
Votre République, c’est l’utopie sanglante d’une liberté imposée « pour leur bien » aux peuples qui n’en demandaient pas tant : Vendéens victimes d’un génocide, Belges, Lombards et Hollandais, Piémontais et Espagnols, Rhénans et Florentins, peuples de la Baltique, du Pô ou de la Méditerranée, annexés de gré ou de force à notre patrie au nom d’un principe dont ils n’avaient que faire.
Votre République, c’est le sang des milliers de malheureux que vos utopies ont jetés sur le pavé à chacune des révoltes parisiennes qui ensanglantèrent le XIXe siècle. C’est le son du canon, l’insurrection, les barricades et ces ouvriers dont votre Révolution fit des miséreux, qui crurent gagner la liberté contre le pouvoir et ne trouvèrent que la mort sous la mitraille.
Votre République, c’est le coup d’État permanent, l’apprentissage public, laïc et obligatoire de sa grandeur, de sa beauté et de sa perfection démocratique. C’est le viol des consciences et la persécution de religieux qui, sans rancune, revinrent par cohortes entières se faire tuer dans les plis d’un drapeau sous lequel on massacrait jadis leurs grands-parents.
Votre République est une idée. Notre France est une réalité. Qu’elle soit gouvernée par Louis, par Napoléon ou par François n’y change rien. C’est l’amour de notre pays qui nous unit, pas celui d’institutions trop souvent renversées en deux siècles pour prétendre incarner la France.
Non, la République n’aime pas ses enfants.
Les enfants aiment leur mère, la France.
François Teutsch
http://www.bvoltaire.fr/francoisteutsch/la-france-est-notre-mere-pas-la-republique,160350
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: La France est notre mère, pas la République
C'est quoi la France ? (Pas un mythe national complètement stupide, mais concrètement ?)
« Rien de plus commode au monde que l'attitude idéaliste et métaphysique, car elle permet de débiter n'importe quoi, sans tenir compte de la réalité objective et sans se soumettre au contrôle de celle-ci. Au contraire, le matérialisme et la dialectique exigent des efforts; ils veulent que l'on parte de la réalité objective, que l'on se soumette à son contrôle. Si l'on ne fait pas d'effort, on risque de glisser dans l'idéalisme et métaphysique. » Mao Zedong
Camarade Dzerjinski-
Messages : 1928
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Age : 33
Localisation : Loubianka
Re: La France est notre mère, pas la République
La plus vieille terre d'Europe, le charme de ses arts, de sa langue et de son esprit, votre culture, votre langue, vos traditions, votre goût, mais vous n'avez rien fabriqué ni mérité de ces biens. Ils vous ont tous été donnés gratuitement, avec quantité d'autres qui font de vous un privilégié de la mappemonde, et ce privilège immatériel vaut plus cher que le grand domaine ou les gros sous dont vous ne savez pas faire votre deuil...Mais vous n'avez rien fabriqué ni mérité de ces biens
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: La France est notre mère, pas la République
...Encore du Maurras ! Tu n'adoreras qu'un seul Dieu.
Mckay- Tribun
- Citoyen
Messages : 5619
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Niveau débatteur: 5
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: La France est notre mère, pas la République
Ouais, donc de la mythologie pure et simple encore une fois... Parce que bon, je veux bien qu'on puisse imputer à la République sa fâcheuse tendance à coller des baffes et d'empêcher nos aïeux de pratiquer leur langue et leur culture (Breton, Occitan, Basque, Alsacien et j'en passe) mais ce processus d'assimilation il est pas tombé du ciel : Il date au moins de Hugues Capet et de la centralisation du pouvoir royal autour de l'île de France.
Un truc tout bête : Quand la brave petite Jeanne d'Arc dit qu'elle va "libérer la France", elle parle de quoi au juste ? La France dans la tête de la gamine, c'est "l'île de France". Drôle de nationaliste jacobinisante que voilà, n'est-il pas ? On peut encore revenir en arrière, quand il y a eu les croisades contre les Cathares, ou les assimilations de forces du grand "Charles Martel qui nous a sauvé des z'arabes envahisseurs", quand l'on sait que les populations du Midi vivaient très bien ses contacts avec les musulmans (sauf pour les razzias, on pourrait en dire autant avec les vikings, non ?) avant de tomber sous la férule d'un souverain ultra-sanguinaire et tout ce qui va avec. Le processus d'assimilation républicain, il vient avant tout de ce qui s'est produit auparavant dans la construction de la 'France', comme espace géographique et national commun. Encore une fois, je veux bien qu'on puisse critiquer la 'France' et même la République, mais faudrait pas oublier qu'on a pas vécu 13 siècle de bonheur idyllique avant 1789. (Je ne cautionne pas par contre, les aphorismes de la bourgeoisie et des "Lumières" sur le prétendue âge sombre qu'à connu l'Europe et la France de la chute de l'Empire Romain jusqu'à la dite 'Renaissance', que l'on soit clair.)
Puis citer Maurras c'est joli, lui qui voulait que toutes les 'nations' qui composent la France puissent être mise à l'honneur... Pourquoi tu le cites pas quand il parle des Occitans, qu'il traite de métèque, de fainéants et de nègres méditerranéen ?
Un truc tout bête : Quand la brave petite Jeanne d'Arc dit qu'elle va "libérer la France", elle parle de quoi au juste ? La France dans la tête de la gamine, c'est "l'île de France". Drôle de nationaliste jacobinisante que voilà, n'est-il pas ? On peut encore revenir en arrière, quand il y a eu les croisades contre les Cathares, ou les assimilations de forces du grand "Charles Martel qui nous a sauvé des z'arabes envahisseurs", quand l'on sait que les populations du Midi vivaient très bien ses contacts avec les musulmans (sauf pour les razzias, on pourrait en dire autant avec les vikings, non ?) avant de tomber sous la férule d'un souverain ultra-sanguinaire et tout ce qui va avec. Le processus d'assimilation républicain, il vient avant tout de ce qui s'est produit auparavant dans la construction de la 'France', comme espace géographique et national commun. Encore une fois, je veux bien qu'on puisse critiquer la 'France' et même la République, mais faudrait pas oublier qu'on a pas vécu 13 siècle de bonheur idyllique avant 1789. (Je ne cautionne pas par contre, les aphorismes de la bourgeoisie et des "Lumières" sur le prétendue âge sombre qu'à connu l'Europe et la France de la chute de l'Empire Romain jusqu'à la dite 'Renaissance', que l'on soit clair.)
Puis citer Maurras c'est joli, lui qui voulait que toutes les 'nations' qui composent la France puissent être mise à l'honneur... Pourquoi tu le cites pas quand il parle des Occitans, qu'il traite de métèque, de fainéants et de nègres méditerranéen ?
« Rien de plus commode au monde que l'attitude idéaliste et métaphysique, car elle permet de débiter n'importe quoi, sans tenir compte de la réalité objective et sans se soumettre au contrôle de celle-ci. Au contraire, le matérialisme et la dialectique exigent des efforts; ils veulent que l'on parte de la réalité objective, que l'on se soumette à son contrôle. Si l'on ne fait pas d'effort, on risque de glisser dans l'idéalisme et métaphysique. » Mao Zedong
Camarade Dzerjinski-
Messages : 1928
Date d'inscription : 18/05/2014
Age : 33
Localisation : Loubianka
Re: La France est notre mère, pas la République
Il date au moins deHugues Capetet de la centralisation du pouvoir royal autour de l'île de France.
Phénomène tardif pré-révolutionnaire (XVIIème)
Quand la brave petite Jeanne d'Arc dit qu'elle va "libérer la France", elle parle de quoi au juste ?
Du royaume de France...
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: La France est notre mère, pas la République
La plus vieille terre d'Europe
L'Irlande était là avant.
C'est l'homme à la face terreuse, au corps maigre, à l’œil de hiboux.
Au bras de fer à mains nerveuses, qui, sortant d'on ne sait pas où,
Toujours avec esprit vous raille, se riant de votre mépris.
C'est la canaille ! Eh bien, j'en suis !
Au bras de fer à mains nerveuses, qui, sortant d'on ne sait pas où,
Toujours avec esprit vous raille, se riant de votre mépris.
C'est la canaille ! Eh bien, j'en suis !
Saint Crouton Éclairé- Messages : 1505
Date d'inscription : 30/10/2014
Localisation : Au millieu des abysses
Re: La France est notre mère, pas la République
Avant quoi ?
Mckay- Tribun
- Citoyen
Messages : 5619
Date d'inscription : 20/05/2014
Niveau débatteur: 5
Re: La France est notre mère, pas la République
ben avant le baptême de Clovis et la naissance de "la France", y'avait déjà des Ard ri Erenn sous l'Empire romain.
C'est l'homme à la face terreuse, au corps maigre, à l’œil de hiboux.
Au bras de fer à mains nerveuses, qui, sortant d'on ne sait pas où,
Toujours avec esprit vous raille, se riant de votre mépris.
C'est la canaille ! Eh bien, j'en suis !
Au bras de fer à mains nerveuses, qui, sortant d'on ne sait pas où,
Toujours avec esprit vous raille, se riant de votre mépris.
C'est la canaille ! Eh bien, j'en suis !
Saint Crouton Éclairé- Messages : 1505
Date d'inscription : 30/10/2014
Localisation : Au millieu des abysses
Re: La France est notre mère, pas la République
L'Irlande a été rattachée aux royaumes de Grande-Bretagne ou d'Ecosse à différentes époques ce qui fait que ce ne fût pas une nation indépendante jusqu'à nos jours.
Enfin je pense que c'est de ça que veut parler Merl1.
Enfin je pense que c'est de ça que veut parler Merl1.
Mckay- Tribun
- Citoyen
Messages : 5619
Date d'inscription : 20/05/2014
Niveau débatteur: 5
Re: La France est notre mère, pas la République
c'est qu'à partir du XIV-XVe siècle que l'Irlande a perdu toute sa souveraineté
C'est l'homme à la face terreuse, au corps maigre, à l’œil de hiboux.
Au bras de fer à mains nerveuses, qui, sortant d'on ne sait pas où,
Toujours avec esprit vous raille, se riant de votre mépris.
C'est la canaille ! Eh bien, j'en suis !
Au bras de fer à mains nerveuses, qui, sortant d'on ne sait pas où,
Toujours avec esprit vous raille, se riant de votre mépris.
C'est la canaille ! Eh bien, j'en suis !
Saint Crouton Éclairé- Messages : 1505
Date d'inscription : 30/10/2014
Localisation : Au millieu des abysses
Re: La France est notre mère, pas la République
Tu le sais toi ! T'es Irlandologue !
Mckay- Tribun
- Citoyen
Messages : 5619
Date d'inscription : 20/05/2014
Niveau débatteur: 5
Re: La France est notre mère, pas la République
C'est faux et tu le sais bien. La centralisation effective et la conquête de la "France", ça date du haut moyen-âge au moins. J'ai parlé des Cathares, on pourrait parler de la pacification d'autres régions à coups d'armées d'invasion et de massacre de population. Vu le nombre de soulèvement qui a eu lieu dans le Midi de la France... ça m'fait rire ton petit comte de fée.Merl1 a écrit:Phénomène tardif pré-révolutionnaire (XVIIème)
Tu mens encore une fois. Jeanne dit qu'elle doit allez voir le Roi et qu'elle doit se rendre "en France", alors elle sous-entend qu'elle n'habite pas en France, car elle vient de Domrémy... Et la France à cette époque, c'est le domaine royal du petit Charles qui s'accroche comme il peut pour pas se faire poutrer par les Anglais. C'est pas la peine de faire semblant, il y a une différence entre des mythes et l'histoire réelle.Du royaume de France...
« Rien de plus commode au monde que l'attitude idéaliste et métaphysique, car elle permet de débiter n'importe quoi, sans tenir compte de la réalité objective et sans se soumettre au contrôle de celle-ci. Au contraire, le matérialisme et la dialectique exigent des efforts; ils veulent que l'on parte de la réalité objective, que l'on se soumette à son contrôle. Si l'on ne fait pas d'effort, on risque de glisser dans l'idéalisme et métaphysique. » Mao Zedong
Camarade Dzerjinski-
Messages : 1928
Date d'inscription : 18/05/2014
Age : 33
Localisation : Loubianka
Re: La France est notre mère, pas la République
C'est pas ce que dit Tocqueville et il est pas le seul. Nombre de provinces avaient une autonomie très importante même jusqu'à la fin du XVIIIème.Camarade Dzerjinski a écrit:C'est faux et tu le sais bien.Merl1 a écrit:Phénomène tardif pré-révolutionnaire (XVIIème)
Tu mens encore une fois. Jeanne dit qu'elle doit allez voir le Roi et qu'elle doit se rendre "en France", alors elle sous-entend qu'elle n'habite pas en France, car elle vient de Domrémy... [/quote]Du royaume de France...
Bah oui c'était le Saint-Empire romain germanique...
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: La France est notre mère, pas la République
Non, on ne parlait pas de "France" à cette époque mais du "Royaume de France" et Jeanne a employé ces termes dans son langage !
Et puis, de même qu'un homme adulte commence par un bébé qui ne parle pas, qui ne marche pas, la "France " est née et a grandi, elle n'est pas née en 1789 ou en 1945 comme certains politiciens ou historiens auto-proclamés nous le répètent à longueur d'années !
Qu'on lise l' "Histoire de France" de Jacques Bainville et "Les origines de la France contemporaine" d'Hippolyte Taine, et on aura une bonne idée de ce que fut "La France" !
Et puis, de même qu'un homme adulte commence par un bébé qui ne parle pas, qui ne marche pas, la "France " est née et a grandi, elle n'est pas née en 1789 ou en 1945 comme certains politiciens ou historiens auto-proclamés nous le répètent à longueur d'années !
Qu'on lise l' "Histoire de France" de Jacques Bainville et "Les origines de la France contemporaine" d'Hippolyte Taine, et on aura une bonne idée de ce que fut "La France" !
" L'asservissement commence avec l'aliénation culturelle et linguistique."
Eric Zemmour
Bravo55- Messages : 946
Date d'inscription : 15/02/2015
Age : 83
Localisation : Vallée du Rhône
Re: La France est notre mère, pas la République
La présence humaine sur le territoire de la France actuelle remonte au Paléolithique inférieur ; les traces les plus anciennes de vie humaine datent d’il y a environ 1 800 000 ans.
L’homme est alors confronté à un climat rude et variable, marqué par plusieurs ères glaciaires qui modifient son cadre de vie.
La France compte un nombre important de grottes ornées du Paléolithique supérieur, dont l’une des plus célèbres est celle de Lascaux (Dordogne, -18 000 environ).
Vers -10 000, à la fin de la dernière ère glaciaire, le climat s’adoucit. À partir de -7 000 environ, cette partie de l’Europe occidentale entre dans le Néolithique et ses habitants se sédentarisent, même si l’évolution est différente selon les régions.
Après un fort développement démographique et agricole aux IVe et IIIe millénaires, la métallurgie fait son apparition à la fin du IIIe millénaire, d’abord avec le travail de l’or, du cuivre et du bronze, puis avec celui du fer au VIIIe siècle.
En -600, des Grecs originaires de la ville de Phocée fondent la ville de Marseille, au bord de la Méditerranée ; à la même époque, quelques peuples celtes pénètrent dans le territoire de la France actuelle, mais cette occupation ne se généralise à la totalité de ce territoire qu’entre les Ve et IIIe siècles av. J.-C..
La notion de Gaule apparaît alors ; elle correspond aux territoires de peuplement celte compris entre le Rhin, les Pyrénées, l’Atlantique et la Méditerranée.
La Gaule est alors un pays prospère, dont la partie méridionale est de plus en plus soumise aux influences grecques et romaines.
À partir de -125, le sud de la Gaule est peu à peu conquis par la République romaine, qui y fonde les villes d’Aix-en-Provence, Toulouse et Narbonne.
En -58, Jules César se lance à la conquête du reste de la Gaule, et vainc en -52 une révolte menée par le chef gaulois Vercingétorix.
Les territoires nouvellement conquis sont répartis par Auguste en neuf provinces romaines, dont les principales sont la Narbonnaise au sud, l’Aquitaine au sud-ouest, la Lyonnaise au centre et la Belgique au nord.
De nombreuses villes sont fondées durant la période gallo-romaine, dont Lyon, appelée à être une capitale des Gaules ; celles-ci sont conçues à l’image des villes romaines, avec un forum, un théâtre, un cirque, un amphithéâtre et des thermes.
La religion romaine se superpose aux cultes gaulois sans les faire disparaître, les divinités se confondant peu à peu dans un même syncrétisme.
Au IIIe siècle, la Gaule romaine connaît une crise grave, le limes, frontière fortifiée protégeant l’Empire des incursions germaniques, étant franchi à plusieurs reprises par les Barbares.
Le pouvoir romain, pendant ce temps, semble chancelant : un Empire des Gaules est proclamé en 260 et échappe à la tutelle romaine jusqu’en 274. Néanmoins, la situation s’améliore dans la première moitié du IVe siècle, qui est une période de renouveau et de prospérité pour la Gaule.
En 312, l’empereur Constantin Ier se convertit au christianisme ; les chrétiens, persécutés jusque là, se multiplient.
Mais les invasions barbares reprennent à partir de la seconde moitié du IVe siècle ; le 31 décembre 406, les Vandales, Suèves et Alains franchissent le Rhin et traversent la Gaule jusqu’en Espagne.
Au milieu du Ve siècle, les Alamans et les Francs, deux peuples païens, s’installent au nord-est de la France actuelle et exercent une forte pression sur les généraux romains qui subsistent dans le nord-est de la Gaule
La conversion au christianisme du chef franc Clovis fait de lui l’allié de l’Église et lui permet de conquérir l’essentiel de la Gaule au tournant des Ve et VIe siècles.
La fusion des héritages gallo-romains, des apports germaniques et du christianisme est longue et difficile, les Francs constituant originellement une société guerrière aux lois très éloignées du droit romain et des principes chrétiens.
Tandis que la faiblesse démographique que connaît le Royaume des Francs entraîne un déclin des villes, le christianisme s’installe par la fondation d’églises rurales et surtout de très nombreux monastères.
Si le pouvoir de Clovis semblait originellement solide, la dynastie mérovingienne doit bientôt faire face à de graves difficultés ; elle disparaît en 751 lorsque Pépin le Bref est sacré roi des Francs, fondant ainsi la dynastie carolingienne.
Pépin le Bref et son fils Charlemagne agrandissent considérablement le royaume des Francs, qui s’étend à la fin du VIIIe siècle sur plus d’un million de kilomètres carrés.
L’immense empire carolingien est contrôlé par une administration centralisée basée à Aix-la-Chapelle, des comtes représentant Charlemagne dans tout l’empire et étant surveillés par les missi dominici.
Charlemagne, couronné en 800 empereur d’Occident, relance les arts libéraux dans l’éducation, et le Palais d’Aix-la-Chapelle accueille une activité intellectuelle et artistique de haut niveau.
Néanmoins, après la mort de l’empereur, les comtes et les vassaux de celui-ci parviennent peu à peu à rendre leur fonction héréditaire, et les petits-fils de Charlemagne se partagent l’Empire au traité de Verdun (843) ; Charles obtient la Francie occidentale, qui correspond approximativement aux deux tiers occidentaux de la France actuelle et dont les frontières varieront peu jusqu’à la fin du Moyen Âge.
Le nouveau royaume doit toutefois affronter trois vagues d’invasions différentes aux IXe et Xe siècles, menées par les musulmans, les Vikings et les Hongroise 30.
À la même époque, les pouvoirs des anciens comtes continuent d’augmenter tandis que le pouvoir royal diminue ; une société féodale se met en place, caractérisée par sa division en trois ordres : le clergé, la noblesse et le Tiers état.
En 987, Hugues Capet est élu roi par ses pairs, c'est-à-dire les nobles du royaume ; la monarchie redevient héréditaire, et les Capétiens règneront sur la France pendant plus de 800 ans.
Néanmoins, les premiers rois capétiens ne contrôlent directement qu’une portion très faible du territoire français, appelée le domaine royal, et certains de leurs vassaux sont beaucoup plus puissants qu’eux.
Au XIIe siècle, le pouvoir royal commence à s’affirmer contre les princes du royaume, mais doit faire face à partir des années 1150 à la naissance d’un « empire Plantagenêt » regroupant dans un même ensemble l’Angleterre et le tiers ouest de la France.
Le royaume capétien atteint un apogée au XIIIe siècle, la monarchie reprenant le pouvoir qu’elle avait perdue 36 tandis que l’art et la culture française s’affirment en Europe.
Philippe Auguste (1180-1223) parvient à conquérir l’essentiel des possessions françaises des Plantagenêt, mettant temporairement fin à la menace anglaise et agrandissant considérablement le domaine royal par la même occasion.
Louis IX (1226-1270) se comporte en arbitre de la chrétienté et participe aux septième et huitième croisades, ce qui l’amènera à être très vite canonisé par l’Église catholique.
Le XIVe et la première moitié du XVe siècle voient la France plonger dans une crise grave, dont les expressions sont multiples.
La guerre de Cent Ans, menée contre l’Angleterre et née d’un problème de succession à la tête du Royaume de France, ravage le pays.
Mais la crise des XIVe et XVe siècles n’est pas seulement politique ou militaire : elle est aussi démographique — la peste noire tue à partir de 1347 au moins un tiers de la population du royaume —, sociale — les insurrections paysannes et urbaines se multiplient —, économique et religieuse.
Néanmoins, si la monarchie est également touchée par cette crise, elle n’en sort que renforcée : le pouvoir central, qui s’est déplacé dans la vallée de la Loire, se dote de nouvelles institutions et met en place une armée et un impôt permanents.
L’homme est alors confronté à un climat rude et variable, marqué par plusieurs ères glaciaires qui modifient son cadre de vie.
La France compte un nombre important de grottes ornées du Paléolithique supérieur, dont l’une des plus célèbres est celle de Lascaux (Dordogne, -18 000 environ).
Vers -10 000, à la fin de la dernière ère glaciaire, le climat s’adoucit. À partir de -7 000 environ, cette partie de l’Europe occidentale entre dans le Néolithique et ses habitants se sédentarisent, même si l’évolution est différente selon les régions.
Après un fort développement démographique et agricole aux IVe et IIIe millénaires, la métallurgie fait son apparition à la fin du IIIe millénaire, d’abord avec le travail de l’or, du cuivre et du bronze, puis avec celui du fer au VIIIe siècle.
En -600, des Grecs originaires de la ville de Phocée fondent la ville de Marseille, au bord de la Méditerranée ; à la même époque, quelques peuples celtes pénètrent dans le territoire de la France actuelle, mais cette occupation ne se généralise à la totalité de ce territoire qu’entre les Ve et IIIe siècles av. J.-C..
La notion de Gaule apparaît alors ; elle correspond aux territoires de peuplement celte compris entre le Rhin, les Pyrénées, l’Atlantique et la Méditerranée.
La Gaule est alors un pays prospère, dont la partie méridionale est de plus en plus soumise aux influences grecques et romaines.
À partir de -125, le sud de la Gaule est peu à peu conquis par la République romaine, qui y fonde les villes d’Aix-en-Provence, Toulouse et Narbonne.
En -58, Jules César se lance à la conquête du reste de la Gaule, et vainc en -52 une révolte menée par le chef gaulois Vercingétorix.
Les territoires nouvellement conquis sont répartis par Auguste en neuf provinces romaines, dont les principales sont la Narbonnaise au sud, l’Aquitaine au sud-ouest, la Lyonnaise au centre et la Belgique au nord.
De nombreuses villes sont fondées durant la période gallo-romaine, dont Lyon, appelée à être une capitale des Gaules ; celles-ci sont conçues à l’image des villes romaines, avec un forum, un théâtre, un cirque, un amphithéâtre et des thermes.
La religion romaine se superpose aux cultes gaulois sans les faire disparaître, les divinités se confondant peu à peu dans un même syncrétisme.
Au IIIe siècle, la Gaule romaine connaît une crise grave, le limes, frontière fortifiée protégeant l’Empire des incursions germaniques, étant franchi à plusieurs reprises par les Barbares.
Le pouvoir romain, pendant ce temps, semble chancelant : un Empire des Gaules est proclamé en 260 et échappe à la tutelle romaine jusqu’en 274. Néanmoins, la situation s’améliore dans la première moitié du IVe siècle, qui est une période de renouveau et de prospérité pour la Gaule.
En 312, l’empereur Constantin Ier se convertit au christianisme ; les chrétiens, persécutés jusque là, se multiplient.
Mais les invasions barbares reprennent à partir de la seconde moitié du IVe siècle ; le 31 décembre 406, les Vandales, Suèves et Alains franchissent le Rhin et traversent la Gaule jusqu’en Espagne.
Au milieu du Ve siècle, les Alamans et les Francs, deux peuples païens, s’installent au nord-est de la France actuelle et exercent une forte pression sur les généraux romains qui subsistent dans le nord-est de la Gaule
La conversion au christianisme du chef franc Clovis fait de lui l’allié de l’Église et lui permet de conquérir l’essentiel de la Gaule au tournant des Ve et VIe siècles.
La fusion des héritages gallo-romains, des apports germaniques et du christianisme est longue et difficile, les Francs constituant originellement une société guerrière aux lois très éloignées du droit romain et des principes chrétiens.
Tandis que la faiblesse démographique que connaît le Royaume des Francs entraîne un déclin des villes, le christianisme s’installe par la fondation d’églises rurales et surtout de très nombreux monastères.
Si le pouvoir de Clovis semblait originellement solide, la dynastie mérovingienne doit bientôt faire face à de graves difficultés ; elle disparaît en 751 lorsque Pépin le Bref est sacré roi des Francs, fondant ainsi la dynastie carolingienne.
Pépin le Bref et son fils Charlemagne agrandissent considérablement le royaume des Francs, qui s’étend à la fin du VIIIe siècle sur plus d’un million de kilomètres carrés.
L’immense empire carolingien est contrôlé par une administration centralisée basée à Aix-la-Chapelle, des comtes représentant Charlemagne dans tout l’empire et étant surveillés par les missi dominici.
Charlemagne, couronné en 800 empereur d’Occident, relance les arts libéraux dans l’éducation, et le Palais d’Aix-la-Chapelle accueille une activité intellectuelle et artistique de haut niveau.
Néanmoins, après la mort de l’empereur, les comtes et les vassaux de celui-ci parviennent peu à peu à rendre leur fonction héréditaire, et les petits-fils de Charlemagne se partagent l’Empire au traité de Verdun (843) ; Charles obtient la Francie occidentale, qui correspond approximativement aux deux tiers occidentaux de la France actuelle et dont les frontières varieront peu jusqu’à la fin du Moyen Âge.
Le nouveau royaume doit toutefois affronter trois vagues d’invasions différentes aux IXe et Xe siècles, menées par les musulmans, les Vikings et les Hongroise 30.
À la même époque, les pouvoirs des anciens comtes continuent d’augmenter tandis que le pouvoir royal diminue ; une société féodale se met en place, caractérisée par sa division en trois ordres : le clergé, la noblesse et le Tiers état.
En 987, Hugues Capet est élu roi par ses pairs, c'est-à-dire les nobles du royaume ; la monarchie redevient héréditaire, et les Capétiens règneront sur la France pendant plus de 800 ans.
Néanmoins, les premiers rois capétiens ne contrôlent directement qu’une portion très faible du territoire français, appelée le domaine royal, et certains de leurs vassaux sont beaucoup plus puissants qu’eux.
Au XIIe siècle, le pouvoir royal commence à s’affirmer contre les princes du royaume, mais doit faire face à partir des années 1150 à la naissance d’un « empire Plantagenêt » regroupant dans un même ensemble l’Angleterre et le tiers ouest de la France.
Le royaume capétien atteint un apogée au XIIIe siècle, la monarchie reprenant le pouvoir qu’elle avait perdue 36 tandis que l’art et la culture française s’affirment en Europe.
Philippe Auguste (1180-1223) parvient à conquérir l’essentiel des possessions françaises des Plantagenêt, mettant temporairement fin à la menace anglaise et agrandissant considérablement le domaine royal par la même occasion.
Louis IX (1226-1270) se comporte en arbitre de la chrétienté et participe aux septième et huitième croisades, ce qui l’amènera à être très vite canonisé par l’Église catholique.
Le XIVe et la première moitié du XVe siècle voient la France plonger dans une crise grave, dont les expressions sont multiples.
La guerre de Cent Ans, menée contre l’Angleterre et née d’un problème de succession à la tête du Royaume de France, ravage le pays.
Mais la crise des XIVe et XVe siècles n’est pas seulement politique ou militaire : elle est aussi démographique — la peste noire tue à partir de 1347 au moins un tiers de la population du royaume —, sociale — les insurrections paysannes et urbaines se multiplient —, économique et religieuse.
Néanmoins, si la monarchie est également touchée par cette crise, elle n’en sort que renforcée : le pouvoir central, qui s’est déplacé dans la vallée de la Loire, se dote de nouvelles institutions et met en place une armée et un impôt permanents.
Re: La France est notre mère, pas la République
P'tain ! Quand vous faites des c/c, triez au moins ! Je suis sûr que vous ne lisez même pas ce que vous nous imposez.
On veut savoir ce que vous pensez avec vos mots à vous, et non pas suggérer votre positionnement par un vulgaire c/c trouvé sur wiki et que tout le monde connait par cœur déjà.
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Mckay- Tribun
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Re: La France est notre mère, pas la République
J'suis content pour Tocqueville. Le fait d'avoir une "autonomie", ne signifiait aucunement un pouvoir distant qui se trouvait à Paris, là où s'est construit la 'France', comme appareil politico-militaire qui s'est ensuite imposé au cours des siècles sur un territoire géographique qui porte ce nom actuellement. Globalement, on peut dire que le pouvoir royal est concentré définitivement à la mort de Louis XI, ce qui nous éloigne grandement du XVIIème siècle... Même si sous Richelieu le processus s'accélère grandement et j'en conviens.Merl1 a écrit:C'est pas ce que dit Tocqueville et il est pas le seul. Nombre de provinces avaient une autonomie très importante même jusqu'à la fin du XVIIIème.
Mais on se perd dans l'essentiel : Je veux bien que l'on tape sur la République bourgeoise, sur ce qu'elle a fait et sur ce qu'elle n'a pas fait. Mais je m'insurge totalement contre le fait que la seule opposition qu'on peut lui trouver, serait une 'France mythique' qui irait de Vercingétorix, en passant par Clovis, Saint Louis, Jeanne d'Arc et Louis XVI et qui marquerait treize siècle de bonheur immense, face à la "république massacreuse". Parce que des massacres de la royauté mystifiée en France, on peut en sortir pas mal non plus et ça ne permet en rien de dire que cette forme d'organisation fantasmée serait mieux que "La Gueuse".
Merl1 a écrit:Bah oui c'était le Saint-Empire romain germanique...
Non, encore une fois. Domrémy était une ville ville frontière. Je vais prendre un autre exemple : En 1429, le Roi Charles VII décide d'envoyer Jeanne au siège de La Charité-sur-Loire. Elle répond quoi la petite ? "Oh non, moi j'aurai préféré allez en France". Bordel, qui ici va me dire que La Charité-sur-Loire, qui se situe sur la Loire supérieure, n'est pas en France ?Bravo55 a écrit:Non, on ne parlait pas de "France" à cette époque mais du "Royaume de France" et Jeanne a employé ces termes dans son langage !
Là dessus, je pense qu'on est tous (plus ou moins) d'accord pour dire que ça ne commence pas seulement en 1789, ou je ne sais pas à quel autre date. Cependant, la question centrale reste ouverte : Qu'est ce que 'La France', sinon une construction nationale et mythifiée, qui s'est faîtes sur des peuples qui ont été assimilés de force, tant par la royauté que par la République ? Si c'est ça la 'France', alors j'ai vraiment pas envie d'être français.Bravo55 a écrit:Et puis, de même qu'un homme adulte commence par un bébé qui ne parle pas, qui ne marche pas, la "France " est née et a grandi, elle n'est pas née en 1789 ou en 1945 comme certains politiciens ou historiens auto-proclamés nous le répètent à longueur d'années !
« Rien de plus commode au monde que l'attitude idéaliste et métaphysique, car elle permet de débiter n'importe quoi, sans tenir compte de la réalité objective et sans se soumettre au contrôle de celle-ci. Au contraire, le matérialisme et la dialectique exigent des efforts; ils veulent que l'on parte de la réalité objective, que l'on se soumette à son contrôle. Si l'on ne fait pas d'effort, on risque de glisser dans l'idéalisme et métaphysique. » Mao Zedong
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Re: La France est notre mère, pas la République
Inutile d'user de mots vulgaires. Pour ce qui est de l'Histoire de France et de sa création on ne va pas l'inventer, donc il faut bien se référer à un écrit.McKay a écrit:P'tain ! Quand vous faites des c/c, triez au moins ! Je suis sûr que vous ne lisez même pas ce que vous nous imposez.
On veut savoir ce que vous pensez avec vos mots à vous, et non pas suggérer votre positionnement par un vulgaire c/c trouvé sur wiki et que tout le monde connait par cœur déjà.
Re: La France est notre mère, pas la République
C'est pas le contenu, c'est la forme qui fait ièche. Vous prendrez 2 secondes pour m'expliquer pourquoi vous faites un copié/collé d'un texte pris sur wikipédia sans apportez votre position sur le sujet ?
Mettez-vous à la place de ceux qui veulent débattre; Vous postez un truc (sans citer la source d'ailleurs), sans apporter le moindre commentaire ni nuance au texte. C'est impossible de débattre. Cela revient à réciter un cours devant quelqu'un qui expose un sujet. Vous faites du Bartisme. (ref: Jean Bart)
Mettez-vous à la place de ceux qui veulent débattre; Vous postez un truc (sans citer la source d'ailleurs), sans apporter le moindre commentaire ni nuance au texte. C'est impossible de débattre. Cela revient à réciter un cours devant quelqu'un qui expose un sujet. Vous faites du Bartisme. (ref: Jean Bart)
Mckay- Tribun
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Re: La France est notre mère, pas la République
J'aimerai que le gros donneur de leçons de la Guépéou me dise quels génocides commis par la Monarchie en France ont égalé celui de la Vendée en 1793...
" L'asservissement commence avec l'aliénation culturelle et linguistique."
Eric Zemmour
Bravo55- Messages : 946
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Re: La France est notre mère, pas la République
Je dirais le massacre de la Saint-Barthélémy "ordonné" par Charles IX, bien que je ne soit pas aussi sûr que ce soit lui le responsable.
Mckay- Tribun
- Citoyen
Messages : 5619
Date d'inscription : 20/05/2014
Niveau débatteur: 5
Re: La France est notre mère, pas la République
Le massacre de la Saint Barthélémy n'a rien de comparable avec ce qui s'est passé en Vendée. Ce "massacre" a duré une nuit et comme tu le dis, rien ne prouve qu'il ait été ordonné par le Roi. Alors que le génocide de la Vendée a été délibérément ordonné par la Convention et le Comité de Salut Public. Mais bien sur les "Républicains de 2015" s'ils parlent volontiers des attrocités commises sous et par Monarchie, ignorent et camouflent les crimes de la République ! Faut lire Reynald Secher mon grand !
Bravo55- Messages : 946
Date d'inscription : 15/02/2015
Age : 83
Localisation : Vallée du Rhône
Re: La France est notre mère, pas la République
On parlerait déjà d'Horadour...McKay a écrit:Vous faites du Bartisme. (ref: Jean Bart)
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
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