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Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
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Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Aux Pays-Bas, qui élisait dès jeudi 22 mai ses eurodéputés, le Parti pour la liberté (PVV) du leader d'extrême droite Geert Wilders obtiendrait 12,7 % des voix selon les premiers sondages, très loin de ce qu'avaient prédit certaines enquêtes d'opinion. Si les résultats officiels publiés dimanche confirmaient ces chiffres, le PVV perdrait perdre l'un de ses quatre eurodéputés. Portrait.
Il a allégé son abondante chevelure blonde peroxydée et apparaît fatigué. Pendant la campagne, Geert Wilders en campagne électorale s'est prêté de bonne grâce aux « selfies » que lui réclamaient ses sympathisants. Costume sombre cintré et chemise blanche, protégé depuis près de dix ans par une nuée de gardes du corps, il est l’un des rares hommes politiques que les Néerlandais reconnaissent dans ce scurtin européen qui suscite peu d’intérêt.
Issu de la classe moyenne et du Brabant catholique, ce quinquagénaire qui ne vient pas du peuple a appris à lui parler. Surtout de ce qui va mal dans ce pays qui se classe pourtant parmi les plus privilégiés au monde : la petite délinquance, le chômage qui grimpe, le modèle social qui se fragilise.
La campagne a tourné, une fois encore, autour du chef d’extrême droite, de son Parti pour la liberté (PVV) et de ses idées. Hostile à l’Europe et à l’euro – il propose que son pays les abandonne –, il fusionne habilement toutes les peurs et les incertitudes d’un royaume passé d’une europhilie rationnelle à une méfiance profonde, attestée dès 2005 par son « non » au projet de traité constitutionnel.
« PAS CONTRE L’EUROPE, MAIS CONTRE TROP D’EUROPE »
Aujourd’hui, près de 70 % des Néerlandais veulent limiter le rôle de Bruxelles. Les critiques contre les pouvoirs « exorbitants » de l’eurocratie, son coût présumé et sa prétendue volonté de mettre à mal les identités nationales ont fait leur chemin. Elles ne sont d’ailleurs pas l’apanage du PVV et sont désormais partagées, peu ou prou, de la droite à l’extrême gauche de l’échiquier.
Mais, étonnamment, la situation bénéficie aussi aux plus europhiles : déjà gagnant des municipales il y a quelques semaines, le parti libéral réformateur D 66 est en passe de créer la surprise lors du scrutin, avec son slogan : « Pour une Europe 100 % sociale ». D'après les premiers sondages publiés dans la soirée de jeudi à vendredi, D 66 serait en tête des votes.
En 2005, alors qu’il était encore un inconnu sur la scène européenne et que son parti n’existait pas, Geert Wilders expliquait au Monde qu’il n’était « pas contre l’Europe, mais contre trop d’Europe ». Depuis, l’ancien député du parti libéral, l’auteur des discours de Frits Bolkestein, l’ancien commissaire européen auteur de la directive contestée sur le « plombier polonais », resté l’une de ses références avec Ronald Reagan et Margaret Thatcher, a beaucoup évolué.
CROISÉ ANTIMUSULMAN, ANTIÉTRANGER, ANTIEUROPÉEN
M. Wilders s’est rendu célèbre avec son court-métrage Fitna (« discorde » en arabe), qui dénonçait en 2008 la religion musulmane, et a multiplié les propos xénophobes que des adversaires ont, en vain, tenté de faire condamner. Récemment, il promettait de « s’occuper » de la présence, excessive selon lui, de Marocains dans son pays.
Plutôt jovial au départ, l’homme s’est enfermé dans un rôle de croisé antimusulman, antiétranger, antieuropéen. Il refuse les interviews aux médias non néerlandais et gère sans discussion son parti, la formation d’un seul homme dénuée de véritable structure et sans militants. Au fil des années, il s’est donné une autre mission : démontrer que son pays aurait intérêt à abandonner l’Union et sa monnaie. S’il veut envoyer des députés à Strasbourg, c’est pour « dynamiter » l’institution de l’intérieur, explique son entourage.
Pour atteindre son but, M. Wilders veut créer un grand groupe europhobe au Parlement européen. En novembre 2013, oubliant ses réticences à l’égard du Front national, il soulignait, souriant au côté de Marine Le Pen, que ce parti avait « changé », sous-entendant qu’il était fréquentable depuis qu’il n’était plus dirigé par le père de son hôte, auquel le Néerlandais reprochait son antisémitisme.
« UN PROTOFASCISTE NARCISSIQUE »
En mars, le chef du PVV faisait une apparition à Anvers, tombant dans les bras des dirigeants du Vlaams Belang flamand, un parti qu’il décrivait naguère comme néonazi et infréquentable. Il y a quelques jours, il répétait enfin qu’il espérait toujours faire alliance avec le parti europhobe britannique UKIP de Nigel Farage, même si celui-ci a exclu une telle entente.
M. Wilders connaît à la fois les forces et les fragilités de son projet. S’il réussit cette alliance, il bénéficiera non seulement de l’argent et des infrastructures d’une organisation qu’il veut détruire, mais il s’imposera aussi au-delà des frontières un peu étroites de son pays.
Son parti y connaît des tensions internes, enregistre de premiers départs et s’est abîmé dans une expérience chaotique de soutien à une précédente coalition du premier ministre Mark Rutte. Celui que le sociologue Willem Schinkel décrit comme « un protofasciste narcissique » sait aussi les difficultés qu’il risque de rencontrer pour coaliser des Français, des Suédois, des Flamands ou des Italiens. « Qu’une déclaration hasardeuse sur l’Holocauste soit faite par l’un de ces illuminés et l’avion explosera en vol », ironise un député conservateur néerlandais.
Passé sans transition du libéralisme à l’anglo-saxonne à la défense du « petit peuple », de la critique de l’immigration à la dénonciation de « l’idéologie fasciste de l’islam », du plaidoyer pour une Europe ne s’occupant que de la criminalité et de l’économie à la volonté de mettre fin à l’expérience de l’UE qui, selon le patronat néerlandais, rapporte 120 milliards par an à son pays, M. Wilders joue gros.
« En s’alliant avec le FN, il a perdu son innocence et il est sorti de la voie tracée par Pim Fortuyn, qui s’était tenu à distance des horreurs du XXe siècle », écrivait récemment le chroniqueur René Cuperus dans une comparaison entre les deux tribuns. Celui qui révolutionna les Pays-Bas au début des années 2000 et celui qui a capté son héritage et son électorat. En le portant très à droite.
Il a allégé son abondante chevelure blonde peroxydée et apparaît fatigué. Pendant la campagne, Geert Wilders en campagne électorale s'est prêté de bonne grâce aux « selfies » que lui réclamaient ses sympathisants. Costume sombre cintré et chemise blanche, protégé depuis près de dix ans par une nuée de gardes du corps, il est l’un des rares hommes politiques que les Néerlandais reconnaissent dans ce scurtin européen qui suscite peu d’intérêt.
Issu de la classe moyenne et du Brabant catholique, ce quinquagénaire qui ne vient pas du peuple a appris à lui parler. Surtout de ce qui va mal dans ce pays qui se classe pourtant parmi les plus privilégiés au monde : la petite délinquance, le chômage qui grimpe, le modèle social qui se fragilise.
La campagne a tourné, une fois encore, autour du chef d’extrême droite, de son Parti pour la liberté (PVV) et de ses idées. Hostile à l’Europe et à l’euro – il propose que son pays les abandonne –, il fusionne habilement toutes les peurs et les incertitudes d’un royaume passé d’une europhilie rationnelle à une méfiance profonde, attestée dès 2005 par son « non » au projet de traité constitutionnel.
« PAS CONTRE L’EUROPE, MAIS CONTRE TROP D’EUROPE »
Aujourd’hui, près de 70 % des Néerlandais veulent limiter le rôle de Bruxelles. Les critiques contre les pouvoirs « exorbitants » de l’eurocratie, son coût présumé et sa prétendue volonté de mettre à mal les identités nationales ont fait leur chemin. Elles ne sont d’ailleurs pas l’apanage du PVV et sont désormais partagées, peu ou prou, de la droite à l’extrême gauche de l’échiquier.
Mais, étonnamment, la situation bénéficie aussi aux plus europhiles : déjà gagnant des municipales il y a quelques semaines, le parti libéral réformateur D 66 est en passe de créer la surprise lors du scrutin, avec son slogan : « Pour une Europe 100 % sociale ». D'après les premiers sondages publiés dans la soirée de jeudi à vendredi, D 66 serait en tête des votes.
En 2005, alors qu’il était encore un inconnu sur la scène européenne et que son parti n’existait pas, Geert Wilders expliquait au Monde qu’il n’était « pas contre l’Europe, mais contre trop d’Europe ». Depuis, l’ancien député du parti libéral, l’auteur des discours de Frits Bolkestein, l’ancien commissaire européen auteur de la directive contestée sur le « plombier polonais », resté l’une de ses références avec Ronald Reagan et Margaret Thatcher, a beaucoup évolué.
CROISÉ ANTIMUSULMAN, ANTIÉTRANGER, ANTIEUROPÉEN
M. Wilders s’est rendu célèbre avec son court-métrage Fitna (« discorde » en arabe), qui dénonçait en 2008 la religion musulmane, et a multiplié les propos xénophobes que des adversaires ont, en vain, tenté de faire condamner. Récemment, il promettait de « s’occuper » de la présence, excessive selon lui, de Marocains dans son pays.
Plutôt jovial au départ, l’homme s’est enfermé dans un rôle de croisé antimusulman, antiétranger, antieuropéen. Il refuse les interviews aux médias non néerlandais et gère sans discussion son parti, la formation d’un seul homme dénuée de véritable structure et sans militants. Au fil des années, il s’est donné une autre mission : démontrer que son pays aurait intérêt à abandonner l’Union et sa monnaie. S’il veut envoyer des députés à Strasbourg, c’est pour « dynamiter » l’institution de l’intérieur, explique son entourage.
Pour atteindre son but, M. Wilders veut créer un grand groupe europhobe au Parlement européen. En novembre 2013, oubliant ses réticences à l’égard du Front national, il soulignait, souriant au côté de Marine Le Pen, que ce parti avait « changé », sous-entendant qu’il était fréquentable depuis qu’il n’était plus dirigé par le père de son hôte, auquel le Néerlandais reprochait son antisémitisme.
« UN PROTOFASCISTE NARCISSIQUE »
En mars, le chef du PVV faisait une apparition à Anvers, tombant dans les bras des dirigeants du Vlaams Belang flamand, un parti qu’il décrivait naguère comme néonazi et infréquentable. Il y a quelques jours, il répétait enfin qu’il espérait toujours faire alliance avec le parti europhobe britannique UKIP de Nigel Farage, même si celui-ci a exclu une telle entente.
M. Wilders connaît à la fois les forces et les fragilités de son projet. S’il réussit cette alliance, il bénéficiera non seulement de l’argent et des infrastructures d’une organisation qu’il veut détruire, mais il s’imposera aussi au-delà des frontières un peu étroites de son pays.
Son parti y connaît des tensions internes, enregistre de premiers départs et s’est abîmé dans une expérience chaotique de soutien à une précédente coalition du premier ministre Mark Rutte. Celui que le sociologue Willem Schinkel décrit comme « un protofasciste narcissique » sait aussi les difficultés qu’il risque de rencontrer pour coaliser des Français, des Suédois, des Flamands ou des Italiens. « Qu’une déclaration hasardeuse sur l’Holocauste soit faite par l’un de ces illuminés et l’avion explosera en vol », ironise un député conservateur néerlandais.
Passé sans transition du libéralisme à l’anglo-saxonne à la défense du « petit peuple », de la critique de l’immigration à la dénonciation de « l’idéologie fasciste de l’islam », du plaidoyer pour une Europe ne s’occupant que de la criminalité et de l’économie à la volonté de mettre fin à l’expérience de l’UE qui, selon le patronat néerlandais, rapporte 120 milliards par an à son pays, M. Wilders joue gros.
« En s’alliant avec le FN, il a perdu son innocence et il est sorti de la voie tracée par Pim Fortuyn, qui s’était tenu à distance des horreurs du XXe siècle », écrivait récemment le chroniqueur René Cuperus dans une comparaison entre les deux tribuns. Celui qui révolutionna les Pays-Bas au début des années 2000 et celui qui a capté son héritage et son électorat. En le portant très à droite.
Bens- Messages : 2697
Date d'inscription : 17/05/2014
Age : 34
Localisation : Pripyat
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
je ne suis nullement déçue ..........
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Les résultats de sondages, qui se confirmeront, puisque les Néerlandais ont déjà voté, contrairement à nous dimanche.
En tout cas, ils étaient en tête aux sondages avant les élections.
En tout cas, ils étaient en tête aux sondages avant les élections.
Bens- Messages : 2697
Date d'inscription : 17/05/2014
Age : 34
Localisation : Pripyat
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Et pourtant, le parti d'extrême-droite Néerlandais est un grand allié du FN. Et comme le FN, ils étaient en tête des sondages.
On préfère parler du haut score du FN plutôt que de dire que la Gauche radicale européenne va doubler son nombre de députés. Et je parie que l'extrême droite ne pourra même pas créer son groupe au PE.
On préfère parler du haut score du FN plutôt que de dire que la Gauche radicale européenne va doubler son nombre de députés. Et je parie que l'extrême droite ne pourra même pas créer son groupe au PE.
Bens- Messages : 2697
Date d'inscription : 17/05/2014
Age : 34
Localisation : Pripyat
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Raison de plus pour ne pas voter FN. Ils font partie du système.
Bens- Messages : 2697
Date d'inscription : 17/05/2014
Age : 34
Localisation : Pripyat
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Non, je n'irai pas voter. Aucun parti ne me représente. J'ai franchement hésité avec Nouvelle Donne, mais finalement non.
Bens- Messages : 2697
Date d'inscription : 17/05/2014
Age : 34
Localisation : Pripyat
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Darkwing a écrit:Je vais aller voter, simplement pour emmerder l'UMPS ! Fais comme moi !
Venant d'un partisan FN rien de surprenant c'est la seule préoccupation et le seul et unique programme que propose Marine Le Pen ... emmerder les démocrates !
Comment elle s'est fait remoucher par JL Mélenchon hier soir
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
j'irai voter.... d'autres se sont battus pour nous donner le droit de vote et lje les respecte et les honore !
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Tout dépendra si mon meilleur pote me motive. En tout cas si il y arrive, ce sera un exploit. Et je voterai sans doute Nouvelle Donne.
Bens- Messages : 2697
Date d'inscription : 17/05/2014
Age : 34
Localisation : Pripyat
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
En légitimant le gouvernement des riches par les riches ?Liliana75 a écrit:j'irai voter.... d'autres se sont battus pour nous donner le droit de vote et lje les respecte et les honore !
Camarade Dzerjinski-
Messages : 1928
Date d'inscription : 18/05/2014
Age : 33
Localisation : Loubianka
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Camarade Dzerjinski a écrit:En légitimant le gouvernement des riches par les riches ?Liliana75 a écrit:j'irai voter.... d'autres se sont battus pour nous donner le droit de vote et lje les respecte et les honore !
androide- Citoyen
Messages : 209
Date d'inscription : 22/05/2014
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Arrête un peu ton cirque, ta seule défense est de dire "Mais c'était au XIXème". Qui est à la tête des banques, des conseils d'administration, de la finance. De quel classe sociale sont les politiciens, les industriels ? Qui est à la tête de l'économie, les peuples du monde où une classe sociale (Appelons la bourgeoisie la bourgeoisie) qui s'abroge le droit d'avoir 90% de la richesse alors qu'ils sont moins de 1% de la population totale ? Notre système 'démocratique' est le gouvernement des riches par les riches. Notre système 'électorale', ce sont des riches qui demandent à des pauvres de voter pour eux parce qu'ils "représentent leurs intérêts". C'est du cynisme... Fut une certaine époque, l'on était capable de démontrer cette mascarade, maintenant on en fait une fin en soi.Darkwing a écrit:Arrête donc cette chanson... "Les riches" qui gouvernent "les riches"... Nous ne sommes plus au XIXème siècle là, il faut évoluer mon vieux !
On est pas riche, c'est des conneries. Si on était riche avec 1300€, on aurait donc toute une génération de nouveaux riches... Tu dis n'importe quoi.Aujourd'hui on est considéré comme "riche" à partir du moment où on a 1300 euros de retraite par mois ! Tu sais trés bien que ce terme ne veut plus rien dire !
Tu noies volontairement le poisson en refusant de voir la réalité : Le fait qu'un prolo est canal+, une bagnole ou sa maison, ne l'empêche pas d'aller vendre sa force de travail contre un salaire, qui est la base de l'exploitation économique dans le système capitaliste, car le salaire ne représente pas l'intégralité de la richesse produite ! Donc oui, le prolo' peut même avoir 20 000 crédits pour s'acheter une porche cayenne, dans le système capitaliste ce qui nous défini c'est notre place dans le rapport de production : Exploiteurs ou exploités. C'est tout !Il y a des "prolétaires" qui sont propriétaires d'une baraque, de canal+ et de deux bagnoles... Ce sont des "riches" ?
Je ne vois pas toujours pas le rapport. Un joueur de foot n'a aucune utilité sociale par rapport à un neuro-chirugien.Tu sais trés bien qu'un joueur de foot est plus "riche" qu'un neuro-chirurgien et que son club appartient à un "riche" Qatari !
Ce sont les même et je n'aurai aucune vergogne à faire de la justice sociale en leur prenant tout ce qui dépasse au-dessus de 10 000€ par mois.Ce ne veut plus rien dire ! Oui il y a des gens qui gagnent "trop" de fric sans rien foutre, mais ces gens on les trouve plus dans le show-biz que dans les entreprises qui paient des impôts et des charges à l'état !
Camarade Dzerjinski-
Messages : 1928
Date d'inscription : 18/05/2014
Age : 33
Localisation : Loubianka
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
un exemple honteux Cyril Hanouna présentateur débile pour les débiles qui raconte qu avec ses 25 000 euros mensuels il n y arrive pas
androide- Citoyen
Messages : 209
Date d'inscription : 22/05/2014
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
le prix du pain azyme est excessif
androide- Citoyen
Messages : 209
Date d'inscription : 22/05/2014
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
androide a écrit:un exemple honteux Cyril Hanouna présentateur débile pour les débiles qui raconte qu avec ses 25 000 euros mensuels il n y arrive pas
J'aime bien Hanouna, il me fait marrer.
Par contre dire qu'il n'y arrive pas avec 25 000 € par mois, c'est juste se foutre de la gueule du monde.
Mais bon, Teddy Riner a dit la même chose à propos des 75% au-dessus d'un million d'euros. A la critique d'un journaliste "Un million d'euros annuel est déjà largement suffisant." il a répondu "Hum, vous savez, la vie est si chère en ce moment..."
Bens- Messages : 2697
Date d'inscription : 17/05/2014
Age : 34
Localisation : Pripyat
Re: Pays-Bas : l'extrême-droite favorite des sondages prend une claque aux Européennes
Oui mais Riner il est gros et doit manger comme un ogre ca coute cher
androide- Citoyen
Messages : 209
Date d'inscription : 22/05/2014
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