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GPA : l’Union Européenne autorise l’achat de bébé entre 60 000 et 150 000€ pièce
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GPA : l’Union Européenne autorise l’achat de bébé entre 60 000 et 150 000€ pièce
Nul n’est besoin de refaire l’histoire pour démontrer une nouvelle fois que l’Union Européenne fut d’inspiration américaine et nazie. Les pères fondateurs ayant tous eu des accointances avec l’une ou l’autre des idéologies. Entre la vision posthume d’Hitler et l’impérialisme marketing américain, la pauvre Europe s’est retrouvée coincée entre le marteau et l’enclume, tandis que nos camarades de l’Est européen, se débattaient entre le marteau et la faucille.
L’eugénisme n’est-il pas né aux Etats-Unis au début du siècle dernier, et l’idée d’une stérilisation des pauvres et des déficients mentaux, certes couteuse, mais évitant des dizaines d’années de charges sociales, n’a-t-elle pas trouvé son application au sein de la plus grande démocratie du monde ?
Le vainqueur a toujours raison, et ce qui coule sur les vaincus, ne sont que les eaux vannes de la suffisance, grimées en amour et reconnaissance atlantiste.
Ce que le vainqueur eut à offrir et imposer, n’était qu’un modèle de vacuité civilisationelle, à peine construit par des cuistres qui avaient forgé leur « idéologie » à coup de colt 45 à l’occasion de chaque vague d’immigration.
L’esprit « fédéraliste européen» du National Socialisme a perduré jusqu’aux années quatre vingt dix avec les derniers anciens nazis et constructeurs du monstre européen comme Kurt Waldheim.
Nous sommes, aujourd’hui encore, les enfants de cette coparentalité, et victimes des desseins calculateurs de nos « libérateurs », et je ne parle bien évidemment pas du peuple américain et du sacrifice des jeunes GI’s, mais d’une administration sûr d’elle et dominatrice de Roosevelt à Obama dont le seul but a été d’imposer sa vision au monde entier.
A part la musique, mais pas toute, l’importation américaine se résume à une dégoulinante déguelasserie de bouffe infâme qui vous ferez exploser la barre des cent cinquante kilos, si vous n’y preniez garde, doublée de l’aberration du « rester mince » en bouffant des trucs indéfinissables, tout aussi infectes, mais labélisés « observateur de poids » .
Les américains sont les champions du marketing, jusqu’à nous faire aimer de la nourriture pour chiens.
Nos grands amis d’outre-Atlantique, nous ont convaincu, jusqu’à bousculer notre calendrier chrétien en nous assénant des prénoms de leurs « œuvres » télévisuelles. Je me rappelle encore cette série d’une nullité, certes, mais aussi d’une dangerosité extrême qui vantait l’écrasement absolue de son prochain, dans le cadre d’une saga familiale d’esclavagistes pétroliers.
Passé de Lafayette, de ses actions émancipatrices partagées par son ami George Washington, aux projets d’eugénisme exacerbés du XXIème siècle, la grande Amérique n’est plus qu’un ramassis de dirigeants incultes dévorant le veau d’or des Molochs de la silicone valley.
Ces entreprises géantes américaines ont un projet pour nous, un objectif, un dessein. Le nivellement par le bas doit mener les peuples à ne plus penser.
Les multinationales sont toutes devenues apatrides, et cherchent à promouvoir le concept du citoyen du monde, ou plutôt du méta-consommateur, l’homme qui fut branché dans les années quatre vingt, est finalement devenu connecté. En lien direct avec ses fournisseurs, c’est l’avènement de l’Homo déclinibus (c’est à la mode… le latin), One people, one world, sonnant étrangement comme Ein Reisch ein Wolk ein Furher. Nos amis américains nous offrent la quadrature du cercle, et ne font que nous soumettre à la synchronicité de leurs contorsions fascisantes qui a trahi l’esprit des pèlerins du Mayflower.
Les projets de Google, Facebook, et autres compagnies de la vallée du sable, n’ont pas d’autres objectifs que de nous transformer en esclaves volontaires de leur merde qui ne sert intrinsèquement à rien, mais que notre americanized way of life a rendu indispensable.
Cependant, ces boites à fric sans foi ni loi commencent sérieusement à franchir le rubicond.
Homme bionique, homme éternel, homme omniscient, homme-femme, femme-homme, mi homme-mi femme, mi intelligent-mi bête, mais surtout très con. Ces firmes aux énormes valorisations pour le moment virtuelles, s’acharnent à les consolider en actifs solides, en achetant des chercheurs de haut niveau à coup de millions de dollars de salaire annuel.
La quintessence de toute cette transgression eugéniste américaine est représentée par la société MHB, acronyme évocateur de Men Having Baby.. Leur petite réunion à Bruxelles le 3 mai dernier n’a semble t-il pas vraiment été relayée.
Nous y voilà donc, au cœur de l’Europe les petits d’hommes se négocient entre 60 000 et 150 000 €, soit le coût d’une berline de luxe en Europe, mais pour les budgets plus serrés, il y a l’Inde, ou pour le prix d’une voiture d’occasion, Monsieur et Monsieur, et Madame et Madame pourront revenir avec un petit bébé, certes pas aryen, mais pas cher.
La bête immonde est donc de retour.
Je pourrais m’arrêter à cette conclusion, mais j’admire trop la littérature homosexuelle pour en rester là. Etait-ce peut-être l’interdit qui forgea un tel talent dans le cœur de nos poètes et écrivains ? Le combat conduit à la transcendance, la victoire à la défaite morale.
Nos anciens vainqueurs vendent leur âme au diable, et nous lisons assidûment la fable du grand méchant loup russe qui veut souffler sur les maisons des gentils petits cochons que nous sommes.
Il serait effectivement urgent de retrouver le cœur de nos racines européennes.
Source : http://lagauchematuer.fr/2015/05/13/gpa-lunion-europeenne-autorise-lachat-de-bebe-entre-60-000-et-150-000e-piece/#GJLxuZqoZhQEGPb6.99
L’eugénisme n’est-il pas né aux Etats-Unis au début du siècle dernier, et l’idée d’une stérilisation des pauvres et des déficients mentaux, certes couteuse, mais évitant des dizaines d’années de charges sociales, n’a-t-elle pas trouvé son application au sein de la plus grande démocratie du monde ?
Le vainqueur a toujours raison, et ce qui coule sur les vaincus, ne sont que les eaux vannes de la suffisance, grimées en amour et reconnaissance atlantiste.
Ce que le vainqueur eut à offrir et imposer, n’était qu’un modèle de vacuité civilisationelle, à peine construit par des cuistres qui avaient forgé leur « idéologie » à coup de colt 45 à l’occasion de chaque vague d’immigration.
L’esprit « fédéraliste européen» du National Socialisme a perduré jusqu’aux années quatre vingt dix avec les derniers anciens nazis et constructeurs du monstre européen comme Kurt Waldheim.
Nous sommes, aujourd’hui encore, les enfants de cette coparentalité, et victimes des desseins calculateurs de nos « libérateurs », et je ne parle bien évidemment pas du peuple américain et du sacrifice des jeunes GI’s, mais d’une administration sûr d’elle et dominatrice de Roosevelt à Obama dont le seul but a été d’imposer sa vision au monde entier.
A part la musique, mais pas toute, l’importation américaine se résume à une dégoulinante déguelasserie de bouffe infâme qui vous ferez exploser la barre des cent cinquante kilos, si vous n’y preniez garde, doublée de l’aberration du « rester mince » en bouffant des trucs indéfinissables, tout aussi infectes, mais labélisés « observateur de poids » .
Les américains sont les champions du marketing, jusqu’à nous faire aimer de la nourriture pour chiens.
Nos grands amis d’outre-Atlantique, nous ont convaincu, jusqu’à bousculer notre calendrier chrétien en nous assénant des prénoms de leurs « œuvres » télévisuelles. Je me rappelle encore cette série d’une nullité, certes, mais aussi d’une dangerosité extrême qui vantait l’écrasement absolue de son prochain, dans le cadre d’une saga familiale d’esclavagistes pétroliers.
Passé de Lafayette, de ses actions émancipatrices partagées par son ami George Washington, aux projets d’eugénisme exacerbés du XXIème siècle, la grande Amérique n’est plus qu’un ramassis de dirigeants incultes dévorant le veau d’or des Molochs de la silicone valley.
Ces entreprises géantes américaines ont un projet pour nous, un objectif, un dessein. Le nivellement par le bas doit mener les peuples à ne plus penser.
Les multinationales sont toutes devenues apatrides, et cherchent à promouvoir le concept du citoyen du monde, ou plutôt du méta-consommateur, l’homme qui fut branché dans les années quatre vingt, est finalement devenu connecté. En lien direct avec ses fournisseurs, c’est l’avènement de l’Homo déclinibus (c’est à la mode… le latin), One people, one world, sonnant étrangement comme Ein Reisch ein Wolk ein Furher. Nos amis américains nous offrent la quadrature du cercle, et ne font que nous soumettre à la synchronicité de leurs contorsions fascisantes qui a trahi l’esprit des pèlerins du Mayflower.
Les projets de Google, Facebook, et autres compagnies de la vallée du sable, n’ont pas d’autres objectifs que de nous transformer en esclaves volontaires de leur merde qui ne sert intrinsèquement à rien, mais que notre americanized way of life a rendu indispensable.
Cependant, ces boites à fric sans foi ni loi commencent sérieusement à franchir le rubicond.
Homme bionique, homme éternel, homme omniscient, homme-femme, femme-homme, mi homme-mi femme, mi intelligent-mi bête, mais surtout très con. Ces firmes aux énormes valorisations pour le moment virtuelles, s’acharnent à les consolider en actifs solides, en achetant des chercheurs de haut niveau à coup de millions de dollars de salaire annuel.
La quintessence de toute cette transgression eugéniste américaine est représentée par la société MHB, acronyme évocateur de Men Having Baby.. Leur petite réunion à Bruxelles le 3 mai dernier n’a semble t-il pas vraiment été relayée.
Nous y voilà donc, au cœur de l’Europe les petits d’hommes se négocient entre 60 000 et 150 000 €, soit le coût d’une berline de luxe en Europe, mais pour les budgets plus serrés, il y a l’Inde, ou pour le prix d’une voiture d’occasion, Monsieur et Monsieur, et Madame et Madame pourront revenir avec un petit bébé, certes pas aryen, mais pas cher.
La bête immonde est donc de retour.
Je pourrais m’arrêter à cette conclusion, mais j’admire trop la littérature homosexuelle pour en rester là. Etait-ce peut-être l’interdit qui forgea un tel talent dans le cœur de nos poètes et écrivains ? Le combat conduit à la transcendance, la victoire à la défaite morale.
Nos anciens vainqueurs vendent leur âme au diable, et nous lisons assidûment la fable du grand méchant loup russe qui veut souffler sur les maisons des gentils petits cochons que nous sommes.
Il serait effectivement urgent de retrouver le cœur de nos racines européennes.
Source : http://lagauchematuer.fr/2015/05/13/gpa-lunion-europeenne-autorise-lachat-de-bebe-entre-60-000-et-150-000e-piece/#GJLxuZqoZhQEGPb6.99
Briard-
Messages : 2203
Date d'inscription : 10/03/2015
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