Le système de santé français est-il vraiment si performant?

Merl1 a écrit:

Mara-des-bois a écrit:
Il n'en demeure pas moins qu'on est beaucoup mieux pris en charge en France que dans la plupart des autres pays du monde.
Mab

Avec un système de soins à crédit... Comme disait l'autre " Ça ne coûte rien, c'est l'Etat qui paye"

de beauregard a écrit:

Merl1 président de la cour des comptes a écrit:Avec un système de soins à crédit... Comme disait l'autre " Ça ne coûte rien, c'est l'Etat qui paye"

Non Monsieur ce sont les gens qui cotisent à la Sécurité Sociale !

Merl1 a écrit:

de beauregard a écrit:

Merl1 président de la cour des comptes a écrit:Avec un système de soins à crédit... Comme disait l'autre " Ça ne coûte rien, c'est l'Etat qui paye"

Non Monsieur ce sont les gens qui cotisent à la Sécurité Sociale !

Qui cotisent pour financer une dette...

Merl1 a écrit:On rembourse que dalle on creuse le trou de la sécu d'années en années...Vos cotisations sont le financement des intérêts.

Merl1, pour la phytothérapie chez les pauvres.

Briard a écrit:Que l'Etat rembourse la Sécurité Sociale des ponctions indues et des cotisations non versées et nous serons en bénéfice de 9 Milliards d'Euro.

de beauregard a écrit:

Merl1 a écrit:On rembourse que dalle on creuse le trou de la sécu d'années en années...Vos cotisations sont le financement des intérêts.

Merl1, pour la phytothérapie chez les pauvres.

On comble le déficit de la sécurité sociale alors qu'avant 2012 on le creusait en effet ...cher monsieur, informez vous !

de beauregard a écrit:Il  te faudra apprendre à lire un graphique Merl1

DEFICIT DE LA SECU :

2009 - 23,5 millards
2010 - 28 millards
2011 - 20,9 millards
2012 - 17,5 millards
2013 - 16,2 millards
2014 - 12,8 millards

On ne cumule pas une dette et es remboursements !

Merl1 a écrit:
Ce que vous présentez n'est pas la dette cumulée mais le déficit sur une année, c'est plus rassurant. Le stock de dette géré en 2014 était de près de 133 milliards d'euros.

de beauregard a écrit:

Merl1 a écrit:
Ce que vous présentez n'est pas la dette cumulée mais le déficit sur une année, c'est plus rassurant. Le stock de dette géré en 2014 était de près de 133 milliards d'euros.

Vos sources l'ami ?

Depuis sa création en 1996, la CADES a pour mission de reprendre et d’amortir les déficits de la sécurité sociale. A cette fin, elle a recours à une gamme très diversifiée d’emprunts qu’elle émet en euros et dans différentes autres devises en réponse à la demande des investisseurs internationaux.

Ces emprunts s’inscrivent dans le cadre d’un programme de financement annuel défini chaque début d’année à la suite du vote au Parlement de la loi sur le financement de la sécurité sociale (LFSS). La LFSS fixe notamment l’objectif d’amortissement de la dette sociale pour l’année et établit, le cas échéant, le montant de dette transférée à la CADES pour l’année à venir.

Afin d’atteindre ces objectif, lui permettre de payer les intérêts et de rembourser les investisseurs qui ont souscrit à ses emprunts, la CADES bénéficie annuellement des ressources suivantes : la CRDS(1) au taux de 0,5%, 0,48 point de CSG(1), 1,3% du prélèvement social sur les revenus du capital, 2,1 milliards d’euros versés par le FRR(1) jusqu’en 2024.

En 2014, les ressources de la CADES ont atteint 16 milliards d’euros, permettant de verser 3,3 milliards d’euros d’intérêts aux porteurs des obligations émises par la CADES et d’amortir la dette sociale à hauteur de 12,7 milliards d’euros, conformément à l’objectif fixé par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2015.
En outre, 18,2 milliards d’euros d’emprunts à moyen et long-terme, ont été levés confirmant ainsi, notre position parmi les premiers émetteurs souverains et « quasi-souverains » européens.

En 18 ans, la CADES a ainsi repris 227 milliards d’euros de dette sociale et "amorti" sic 96,7 milliards d’euros, correspondant à une diminution de la dette publique française équivalente à plus 5 points de PIB. A fin 2014, il restait 130 milliards d’euros de dette à amortir.

Forts des atouts qui nous caractérisent – qualité, diversification et liquidité de nos emprunts, confiance des investisseurs internationaux – nous sommes confiants dans l’exécution sans faille de la mission qui nous a été confiée par le Parlement de gérer et d’amortir la dette sociale française ces prochaines années.

Briard a écrit:En attendant, on soigne à tour de bras les dirigeants algériens, sans que cela leurs coute le moindre cent !!
Si l'Algérie paye ses dettes à la Sécu, là encore le déficit serait vite comblé.
Et il en est de même avec d'autres pays. Qu'on les fasse payer au lieu de nous sucer jusqu'à la moelle.