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Roubaix : l'islamisation est en marche
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Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Visiblement tout le monde trouve ce machin normal ?
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Merl1 a écrit:Visiblement tout le monde trouve ce machin normal ?
Esthetiquement, la multiplication des barbamamas n'est pas à mon gout.
Et puis ce serait peut etre mieux de parler correctement le français au quotidien, plutot que d'apprendre l'arabe pour le paradis, mais chacun son truc...
Et il me semble que deux anecdotes ne font pas une generalité.
Nous sommes 66 millions, 3500 par an se convertissent -et on ne donne pas les chiffres pour les conversions des musulmans vers le christianisme... Pour en avoir une idée, il suffit d'aller à l'Eglise à Paques, lors des baptemes d'adultes.
Mab
Invité- Invité
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Toutes les religions quelles qu'elle soient ont un début et pas souvent très glorieux, y compris le catholicisme.
Une chose est quasiment certaine est que de nombreuses guerres ont lieu du fait de la religion donc pas matière à se marrer ni à se moquer !
Une chose est quasiment certaine est que de nombreuses guerres ont lieu du fait de la religion donc pas matière à se marrer ni à se moquer !
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
de beauregard a écrit:Toutes les religions quelles qu'elle soient ont un début et pas souvent très glorieux, y compris le catholicisme.
Une chose est quasiment certaine est que de nombreuses guerres ont lieu du fait de la religion donc pas matière à se marrer ni à se moquer !
Ah tiens.
Et peux tu me raconter le debut "pas glorieux" du catholicisme ?
Qui soit dit en passant est une confession, et non une religion.
Mab, interessée
Invité- Invité
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
de beauregard a écrit:Le catholicisme est la religion des chrétiens
euh... et les protestants et les orthodoxes ne sont pas chrétiens ?
Napoléon III- Messages : 2315
Date d'inscription : 21/05/2014
Age : 25
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
la confession est un sacrement pour les Églises anglicane, catholique, orthodoxe, suédoise et vieilles orientales. Elle est individuelle et privée
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Napoléon III a écrit:de beauregard a écrit:Le catholicisme est la religion des chrétiens
euh... et les protestants et les orthodoxes ne sont pas chrétiens ?
je n'ai jamais exclu les protestants ni les orthodoxes de la communauté chrétienne ! Je précisais à l'autre qu'il y avait une différence entre une religion et une confession !
Maintenant je vais lui rappeler les débuts du catholicisme, et c'est bien pour lui faire plaisir !
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
de beauregard a écrit:Napoléon III a écrit:de beauregard a écrit:Le catholicisme est la religion des chrétiens
euh... et les protestants et les orthodoxes ne sont pas chrétiens ?
je n'ai jamais exclu les protestants ni les orthodoxes de la communauté chrétienne ! Je précisais à l'autre qu'il y avait une différence entre une religion et une confession !
Maintenant je vais lui rappeler les débuts du catholicisme, et c'est bien pour lui faire plaisir !
Non mais MAB a raison en fait
Napoléon III- Messages : 2315
Date d'inscription : 21/05/2014
Age : 25
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Question : "Quelle est l’origine de l’Eglise Catholique ?"
Réponse : L’Eglise Catholique romaine soutient que son origine remonte à la mort, la résurrection et l’ascension de Jésus-Christ autour de l’an 30 de notre ère.
L’Eglise Catholique se proclame comme étant l’Eglise pour laquelle Jésus-Christ est mort, l’Eglise établie et bâtie par les Apôtres.
Est-ce la vraie origine de l’Eglise Catholique ?
Bien au contraire. Même une lecture superficielle du Nouveau Testament montre que l’Eglise Catholique n’a pas ses origines dans les enseignements de Jésus ou de Ses apôtres.
Le Nouveau Testament ne fait aucune mention de la papauté, de l’adoration de Marie (ou de l’immaculée conception de Marie, de la virginité perpétuelle de Marie, de l’assomption de Marie, ou de Marie en tant que co-rédemptrice et médiatrice), des requêtes aux saints dans les Cieux afin de bénéficier de leurs prières, de la succession apostolique, des ordonnances dans le fonctionnement de l’église, telles que le baptême des enfants, la confession des péchés à un prêtre, le purgatoire, les indulgences, ou l’égale autorité de la tradition de l’église et des Ecritures.
Si donc l’origine de l’Eglise Catholique ne se trouve pas dans les enseignements de Jésus et de Ses apôtres, comme mentionné dans le Nouveau Testament, quelle est la vraie origine de l’Eglise Catholique ?
Au cours des 280 premières années de l’histoire chrétienne, le christianisme était interdit par l’empire romain, et les chrétiens étaient terriblement persécutés.
Cette situation a changé après la “conversion” de l’Empereur romain Constantin.
Celui-ci a “légalisé” le christianisme à l’Edit de Milan en 313 de notre ère. Plus tard, en 325, Constantin a convoqué le Concile de Nicée, dans une tentative d’unification du christianisme.
Constantin percevait le christianisme comme une religion capable d’unir l’Empire romain qui commençait, à cette période, à se fragmenter et à se diviser. Bien que cela aurait semblé être une situation favorable pour l’église chrétienne, les résultats ont été tout sauf positifs.
Tout comme Constantin a refusé d’embrasser totalement la foi chrétienne, mais a conservé plusieurs de ses croyances et pratiques païennes, de même l’église qu’il a promue était un mélange de la vraie chrétienté et du paganisme romain.
Constantin a jugé que l’Empire romain étant si vaste, expansif et divers que personne n’accepterait d’abandonner ses croyances religieuses pour embrasser le christianisme.
Il a donc autorisé et même encouragé la “Christianisation” des croyances païennes. Des croyances complètement païennes et non bibliques se sont vues attribuer de nouvelles identités “chrétiennes”. En voici quelques exemples clairs :
(1) Le culte d’Isis, une déesse mère égyptienne, a été absorbé dans le christianisme en remplaçant Isis par Marie.
Plusieurs des titres utilisés pour Isis, tels que “la Reine du Ciel,” “la Mère de Dieu” et “theotokos” (celle qui a enfanté Dieu) ont été attribués à Marie.
Celle-ci a reçu un rôle exalté dans la foi chrétienne, largement au-delà de celui que la Bible lui attribue, afin d’attirer les adorateurs d’Isis vers une religion qu’ils n’auraient autrement pas embrassée.
Plusieurs temples d’Isis ont été, en effet, convertis en temples dédiés à Marie. Les premiers indices clairs de la Mariologie catholique figurent dans les écrits d’Origène, qui vécut à Alexandrie en Egypte, ville qui était le point focal de l’adoration d’Isis.
(2) Le mithraïsme était une religion pratiquée dans l’Empire romain entre le 1er et le 5ème siècle de notre ère.
Elle était très populaire chez les Romains, en particulier parmi les soldats romains, et était possiblement la religion de plusieurs empereurs romains.
Bien que le Mithraïsme n’ait jamais eu de statut “officiel” dans l’empire romain, il a été de facto la religion officielle jusqu’à son remplacement par le christianisme, pendant le règne de Constantin et des empereurs romains suivants.
L’une des principales caractéristiques du Mithraïsme était un repas sacrificiel, au cours duquel l’on mangeait la chair et buvait le sang d’un taureau. Mithra, le dieu du Mithraïsme, était “présent” dans la chair et le sang du taureau qui, lorsque consommé, donnait le salut à ceux qui ont participé au repas sacrificiel (la théophagie, le fait de manger son dieu).
Le Mithraïsme possédait également sept “sacrements,” ce qui rend les similarités entre cette religion et le Catholicisme romain trop nombreuses pour être ignorées. Constantin et ses successeurs ont trouvé un substitut facile au repas sacrificiel du Mithraïsme dans le concept de la Sainte Cène / la Communion chrétienne.
Malheureusement, certains chrétiens primitifs avaient déjà commencé à associer du mysticisme à la Sainte Cène, rejetant le concept biblique de commémoration simple et respectueuse de la mort de Christ et de son sang versé.
La Romanisation de la Sainte Cène est l’accomplissement de la transition vers la consommation sacrificielle de Jésus-Christ, appelée Messe catholique / Eucharistie.
(3) La plupart des empereurs (et citoyens) romains étaient hénothéistes.
Un hénothéiste est une personne qui croit en l’existence de plusieurs dieux, mais en se focalisant sur un de ces dieux ou en lui donnant la suprématie sur les autres dieux.
Par exemple, le dieu romain Jupiter avait la suprématie sur le panthéon des dieux romains.
Les navigateurs romains étaient souvent des adorateurs de Neptune, le dieu des océans.
Lorsque l’Eglise catholique a absorbé le paganisme romain, elle a simplement remplacé le panthéon des dieux par les saints.
Tout comme le panthéon des dieux romains comprenait un dieu de l’amour, un dieu de la paix, un dieu de la guerre, un dieu de la force, un dieu de la sagesse, etc., l’Eglise catholique possède aussi un saint qui “contrôle” chacun de ces éléments, et plusieurs autres catégories.
Tout comme beaucoup de villes romaines avaient leur dieu personnel, l’église catholique a aussi attribué des “saints patrons” aux villes.
(4) La suprématie de l’évêque romain (la papauté) a été créée avec le soutien des empereurs romains.
La ville de Rome étant le centre du gouvernement de l’empire romain, et étant donné que les empereurs romains résidaient à Rome, cette ville s’est hissée au premier rang dans toutes les facettes de la vie. Constantin et ses successeurs soutenaient l’évêque de Rome en tant que dirigeant suprême de l’église.
Bien évidemment, il était mieux, pour l’unité de l’empire romain, que le gouvernement et la religion d’Etat soient basés dans le même endroit.
Bien que la plupart des autres évêques (et chrétiens) aient résisté à l’idée de suprématie de l’évêque de Rome, celui-ci a fini par atteindre la suprématie, grâce au pouvoir et à l’influence des empereurs romains.
Après la chute de l’empire romain, les papes on récupéré le titre qui appartenait auparavant aux empereurs romains – Pontificus Maximus.
Il existe beaucoup d’autres exemples, mais ces quatre cas sont suffisants pour démontrer la vraie origine de l’Eglise Catholique.
Bien sûr, l’Eglise Catholique romaine nie l’origine païenne de ses croyances et pratiques.
Elle déguise ses croyances païennes par des conceptions théologiques compliquées.
L’Eglise Catholique excuse et nie son origine païenne sous le masque de la “tradition de l’église.” Reconnaissant que plusieurs de ses croyances et pratiques sont totalement étrangères aux Ecritures, l’Eglise Catholique est obligée de nier l’autorité et la suffisance des Ecritures.
L’Eglise Catholique tire son origine du compromis tragique entre le christianisme et les religions païennes qui l’entouraient.
Au lieu de proclamer l’Evangile et de convertir les païens, l’Eglise Catholique a “christianisé” les religions païennes et “paganisé” le christianisme.
En brouillant les différences et effaçant les distinctions, oui, l’Eglise Catholique s’est rendue attirante pour le peuple de l’empire romain.
L’un des résultats de cette situation est que l’Eglise Catholique est devenue la religion suprême dans le “monde romain” pendant des siècles.
Toutefois, un autre résultat est la plus grande forme d’apostasie dans le christianisme vis-à-vis du vrai Evangile de Jésus-Christ et de la proclamation vraie de la Parole de Dieu.
2 Timothée 4:3-4 déclare, “Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine; mais, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l’oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables.”
En savoir plus: http://www.gotquestions.org/Francais/origine-eglise-catholique.html#ixzz3XlsIrfD8
Voilà ma petite madame
Réponse : L’Eglise Catholique romaine soutient que son origine remonte à la mort, la résurrection et l’ascension de Jésus-Christ autour de l’an 30 de notre ère.
L’Eglise Catholique se proclame comme étant l’Eglise pour laquelle Jésus-Christ est mort, l’Eglise établie et bâtie par les Apôtres.
Est-ce la vraie origine de l’Eglise Catholique ?
Bien au contraire. Même une lecture superficielle du Nouveau Testament montre que l’Eglise Catholique n’a pas ses origines dans les enseignements de Jésus ou de Ses apôtres.
Le Nouveau Testament ne fait aucune mention de la papauté, de l’adoration de Marie (ou de l’immaculée conception de Marie, de la virginité perpétuelle de Marie, de l’assomption de Marie, ou de Marie en tant que co-rédemptrice et médiatrice), des requêtes aux saints dans les Cieux afin de bénéficier de leurs prières, de la succession apostolique, des ordonnances dans le fonctionnement de l’église, telles que le baptême des enfants, la confession des péchés à un prêtre, le purgatoire, les indulgences, ou l’égale autorité de la tradition de l’église et des Ecritures.
Si donc l’origine de l’Eglise Catholique ne se trouve pas dans les enseignements de Jésus et de Ses apôtres, comme mentionné dans le Nouveau Testament, quelle est la vraie origine de l’Eglise Catholique ?
Au cours des 280 premières années de l’histoire chrétienne, le christianisme était interdit par l’empire romain, et les chrétiens étaient terriblement persécutés.
Cette situation a changé après la “conversion” de l’Empereur romain Constantin.
Celui-ci a “légalisé” le christianisme à l’Edit de Milan en 313 de notre ère. Plus tard, en 325, Constantin a convoqué le Concile de Nicée, dans une tentative d’unification du christianisme.
Constantin percevait le christianisme comme une religion capable d’unir l’Empire romain qui commençait, à cette période, à se fragmenter et à se diviser. Bien que cela aurait semblé être une situation favorable pour l’église chrétienne, les résultats ont été tout sauf positifs.
Tout comme Constantin a refusé d’embrasser totalement la foi chrétienne, mais a conservé plusieurs de ses croyances et pratiques païennes, de même l’église qu’il a promue était un mélange de la vraie chrétienté et du paganisme romain.
Constantin a jugé que l’Empire romain étant si vaste, expansif et divers que personne n’accepterait d’abandonner ses croyances religieuses pour embrasser le christianisme.
Il a donc autorisé et même encouragé la “Christianisation” des croyances païennes. Des croyances complètement païennes et non bibliques se sont vues attribuer de nouvelles identités “chrétiennes”. En voici quelques exemples clairs :
(1) Le culte d’Isis, une déesse mère égyptienne, a été absorbé dans le christianisme en remplaçant Isis par Marie.
Plusieurs des titres utilisés pour Isis, tels que “la Reine du Ciel,” “la Mère de Dieu” et “theotokos” (celle qui a enfanté Dieu) ont été attribués à Marie.
Celle-ci a reçu un rôle exalté dans la foi chrétienne, largement au-delà de celui que la Bible lui attribue, afin d’attirer les adorateurs d’Isis vers une religion qu’ils n’auraient autrement pas embrassée.
Plusieurs temples d’Isis ont été, en effet, convertis en temples dédiés à Marie. Les premiers indices clairs de la Mariologie catholique figurent dans les écrits d’Origène, qui vécut à Alexandrie en Egypte, ville qui était le point focal de l’adoration d’Isis.
(2) Le mithraïsme était une religion pratiquée dans l’Empire romain entre le 1er et le 5ème siècle de notre ère.
Elle était très populaire chez les Romains, en particulier parmi les soldats romains, et était possiblement la religion de plusieurs empereurs romains.
Bien que le Mithraïsme n’ait jamais eu de statut “officiel” dans l’empire romain, il a été de facto la religion officielle jusqu’à son remplacement par le christianisme, pendant le règne de Constantin et des empereurs romains suivants.
L’une des principales caractéristiques du Mithraïsme était un repas sacrificiel, au cours duquel l’on mangeait la chair et buvait le sang d’un taureau. Mithra, le dieu du Mithraïsme, était “présent” dans la chair et le sang du taureau qui, lorsque consommé, donnait le salut à ceux qui ont participé au repas sacrificiel (la théophagie, le fait de manger son dieu).
Le Mithraïsme possédait également sept “sacrements,” ce qui rend les similarités entre cette religion et le Catholicisme romain trop nombreuses pour être ignorées. Constantin et ses successeurs ont trouvé un substitut facile au repas sacrificiel du Mithraïsme dans le concept de la Sainte Cène / la Communion chrétienne.
Malheureusement, certains chrétiens primitifs avaient déjà commencé à associer du mysticisme à la Sainte Cène, rejetant le concept biblique de commémoration simple et respectueuse de la mort de Christ et de son sang versé.
La Romanisation de la Sainte Cène est l’accomplissement de la transition vers la consommation sacrificielle de Jésus-Christ, appelée Messe catholique / Eucharistie.
(3) La plupart des empereurs (et citoyens) romains étaient hénothéistes.
Un hénothéiste est une personne qui croit en l’existence de plusieurs dieux, mais en se focalisant sur un de ces dieux ou en lui donnant la suprématie sur les autres dieux.
Par exemple, le dieu romain Jupiter avait la suprématie sur le panthéon des dieux romains.
Les navigateurs romains étaient souvent des adorateurs de Neptune, le dieu des océans.
Lorsque l’Eglise catholique a absorbé le paganisme romain, elle a simplement remplacé le panthéon des dieux par les saints.
Tout comme le panthéon des dieux romains comprenait un dieu de l’amour, un dieu de la paix, un dieu de la guerre, un dieu de la force, un dieu de la sagesse, etc., l’Eglise catholique possède aussi un saint qui “contrôle” chacun de ces éléments, et plusieurs autres catégories.
Tout comme beaucoup de villes romaines avaient leur dieu personnel, l’église catholique a aussi attribué des “saints patrons” aux villes.
(4) La suprématie de l’évêque romain (la papauté) a été créée avec le soutien des empereurs romains.
La ville de Rome étant le centre du gouvernement de l’empire romain, et étant donné que les empereurs romains résidaient à Rome, cette ville s’est hissée au premier rang dans toutes les facettes de la vie. Constantin et ses successeurs soutenaient l’évêque de Rome en tant que dirigeant suprême de l’église.
Bien évidemment, il était mieux, pour l’unité de l’empire romain, que le gouvernement et la religion d’Etat soient basés dans le même endroit.
Bien que la plupart des autres évêques (et chrétiens) aient résisté à l’idée de suprématie de l’évêque de Rome, celui-ci a fini par atteindre la suprématie, grâce au pouvoir et à l’influence des empereurs romains.
Après la chute de l’empire romain, les papes on récupéré le titre qui appartenait auparavant aux empereurs romains – Pontificus Maximus.
Il existe beaucoup d’autres exemples, mais ces quatre cas sont suffisants pour démontrer la vraie origine de l’Eglise Catholique.
Bien sûr, l’Eglise Catholique romaine nie l’origine païenne de ses croyances et pratiques.
Elle déguise ses croyances païennes par des conceptions théologiques compliquées.
L’Eglise Catholique excuse et nie son origine païenne sous le masque de la “tradition de l’église.” Reconnaissant que plusieurs de ses croyances et pratiques sont totalement étrangères aux Ecritures, l’Eglise Catholique est obligée de nier l’autorité et la suffisance des Ecritures.
L’Eglise Catholique tire son origine du compromis tragique entre le christianisme et les religions païennes qui l’entouraient.
Au lieu de proclamer l’Evangile et de convertir les païens, l’Eglise Catholique a “christianisé” les religions païennes et “paganisé” le christianisme.
En brouillant les différences et effaçant les distinctions, oui, l’Eglise Catholique s’est rendue attirante pour le peuple de l’empire romain.
L’un des résultats de cette situation est que l’Eglise Catholique est devenue la religion suprême dans le “monde romain” pendant des siècles.
Toutefois, un autre résultat est la plus grande forme d’apostasie dans le christianisme vis-à-vis du vrai Evangile de Jésus-Christ et de la proclamation vraie de la Parole de Dieu.
2 Timothée 4:3-4 déclare, “Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine; mais, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l’oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables.”
En savoir plus: http://www.gotquestions.org/Francais/origine-eglise-catholique.html#ixzz3XlsIrfD8
Voilà ma petite madame
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Napoléon III a écrit:de beauregard a écrit:Le catholicisme est la religion des chrétiens
euh... et les protestants et les orthodoxes ne sont pas chrétiens ?
Napoleon, ls appartiennent à des confessions du christianisme (la religion etant le christianisme).
-----------
Beauregard, ma poule, en quoi les debuts du catholicismes ne sont ils pas glorieux ?
Mab -A va pas comprendre, je le sens, a va pas comprendre...-
Invité- Invité
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Mara-des-bois a écrit:Napoléon III a écrit:de beauregard a écrit:Le catholicisme est la religion des chrétiens
euh... et les protestants et les orthodoxes ne sont pas chrétiens ?
Napoleon, ls appartiennent à des confessions du christianisme (la religion etant le christianisme).
-----------
Beauregard, ma poule, en quoi les debuts du catholicismes ne sont ils pas glorieux ?
Mab -A va pas comprendre, je le sens, a va pas comprendre...-
Oui j'ai bien compris MAB, c'était justement ce que je faisais remarquer à de beauregard
Napoléon III- Messages : 2315
Date d'inscription : 21/05/2014
Age : 25
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
de beauregard a écrit:Les croisades ça te parle Mab
Oui moi çà me parle... :
Chrétienté "croisades",ou plutôt opérations de sauvetage des chrétiens d'Orient (oui déjà):
Islam, guerres d'agression purement religieuse, ou plutôt attaques terroristes (oui déjà) :
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Napoléon III a écrit:
Non mais MAB a raison en fait
Le contraire m'eut étonné
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Jalouse !!!!
Briard-
Messages : 2203
Date d'inscription : 10/03/2015
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Briard a écrit:Jalouse !!!!
Briard, il n'y a plus d'espoir... Et toi, les croisades, ça te dit quelque chose ? (je connais l'escargolade, mais la croisade, ça...)
Mab, merplexe
Invité- Invité
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
C'est quoi ça la croisade ?
C'est un truc au barbecue ?
C'est un truc au barbecue ?
Briard-
Messages : 2203
Date d'inscription : 10/03/2015
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Briard, comparateur de recettes, a écrit:C'est quoi ça la croisade ?
C'est un truc au barbecue ?
Non, le truc au barbecue, c'est le bucher. La croisade, c'est plus saignant que bien cuit, me semble-t-il.
Mab, prefere la frangipane
Invité- Invité
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Incultes et ignorants !
CROISADES
Expéditions militaires organisées par l'Église pour la délivrance de la Terre sainte, les croisades trouvent leur origine lointaine dans les prescriptions ecclésiastiques du ixe siècle qui sanctifiaient le combat contre les infidèles pour la défense des chrétiens opprimés.
La lutte qui, de 1096 à 1291, opposa les croisés aux musulmans constitue une des grandes pages de l'histoire de l'humanité : au début, des foules de pèlerins, armés de leur seule foi, se font massacrer.
La chevalerie occidentale, qui a pris le temps de s'organiser, leur succède et s'empare de la Palestine. Mais à peine installés, les seigneurs qui ont transposé sur les rives de la mer Morte les structures féodales de l'Europe occidentale, doivent défendre leur conquête contre le retour offensif de l'Islam.
Pendant deux siècles, la Chrétienté tentera de leur envoyer périodiquement des renforts qui, souvent, se feront attendre. Aussi, peu à peu, les chrétiens d'Orient et les musulmans, cohabitant sur les mêmes terres, apprendront à se mieux connaître : la diplomatie souvent se substituera à la guerre.
CROISADES
Expéditions militaires organisées par l'Église pour la délivrance de la Terre sainte, les croisades trouvent leur origine lointaine dans les prescriptions ecclésiastiques du ixe siècle qui sanctifiaient le combat contre les infidèles pour la défense des chrétiens opprimés.
La lutte qui, de 1096 à 1291, opposa les croisés aux musulmans constitue une des grandes pages de l'histoire de l'humanité : au début, des foules de pèlerins, armés de leur seule foi, se font massacrer.
La chevalerie occidentale, qui a pris le temps de s'organiser, leur succède et s'empare de la Palestine. Mais à peine installés, les seigneurs qui ont transposé sur les rives de la mer Morte les structures féodales de l'Europe occidentale, doivent défendre leur conquête contre le retour offensif de l'Islam.
Pendant deux siècles, la Chrétienté tentera de leur envoyer périodiquement des renforts qui, souvent, se feront attendre. Aussi, peu à peu, les chrétiens d'Orient et les musulmans, cohabitant sur les mêmes terres, apprendront à se mieux connaître : la diplomatie souvent se substituera à la guerre.
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
T'es quand même grave toi. T'as vraiment pris au sérieux les vannes de Briard et de Mab ?
C'est pire que ce que je pensais.
C'est pire que ce que je pensais.
Wiston- Messages : 968
Date d'inscription : 10/02/2015
Age : 34
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
Camarade Oulianov a écrit:T'es quand même grave toi. T'as vraiment pris au sérieux les vannes de Briard et de Mab ?
C'est pire que ce que je pensais.
Oulianov, tu dis ça parce que toi, tu croyais que les Croisades c'etait un camp de vacances
Bon, alors, Beauregard, si tu nous causait des croisades menées en France ? Et pas par kopiékollé, hein, tu as jusqu'à demain pour prouver que tu a compris.
Mab, soutient les intellectuellement faibles
Invité- Invité
Re: Roubaix : l'islamisation est en marche
C'est joli, on pourrait presque y croire... Alors que l'on sait que le but premier des Croisades, c'est avant tout d'envoyer une majorité de seigneur qui arrêtaient pas de se foutre sur la gueule en Occident pour qu'ils aillent casser la gueule aux bougnoules sur place. C'est pour vider le trop plein de violence qui était inhérent au système féodal, car l'Eglise en avait plein le cul d'édicter des lois pour essayer d'endiguer les guerres incessantes. L'idée d'envoyer les seigneurs allez se battre très loin, c'était pas mal ! Puis le coin était pas trop mal pour se faire des richesses. Puis on passait par Constantinople, qui attendait que d'être également pillé par la volonté de libération des Croisés.Merl1 a écrit:Chrétienté "croisades",ou plutôt opérations de sauvetage des chrétiens d'Orient (oui déjà):
La première crise des Croisades, 1096-1099
L’histoire biséculaire des croisades repose sur deux crises majeures. La première créa les Etats croisés. La seconde, un siècle après, brisa leur pouvoir et les conduisit à leur chute finale.
La première fut initiée par l’appel du pape Urbain en novembre 1095. L’Eglise, avec des domaines répandus dans toute l’Europe occidentale, était une grande entreprise féodale. Elle maintenait et élargissait ses domaines en compétition avec les princes féodaux séculaires. En conséquent, tout ce qui renforçait l’influence politique de l’Eglise, telle que la vague de zèle et d’activité religieuse déclenchée par la première croisade, constituait un avantage. Les évêques étaient donc désireux, comme d’autres seigneurs féodaux, de préserver la paix intérieure en exportant le surplus de violence de la caste militaire.
Mais les réponses à l’appel d’Urbain II dépassèrent toutes les attentes. Quatre armées se formèrent rapidement : dans le sud de la France avec à sa tête Raymond de Toulouse ; dans le nord de la France, en Lorraine, et en Germanie, avec Godefroy de bouillon ; dans la région parisienne et la Champagne sous la direction d’Hugues de Vermandois ; et parmi les Normands du sud de l’Italie et de la Sicile avec Bohemond de Tarente. Chaque armée comprenait des centaines de chevaliers ainsi que des milliers de fantassins et d’archers. Les croisés entrèrent en Syrie à la fin de l’année 1097, s’emparèrent d’Antioche en juin 1098, puis de Jérusalem l’année suivante. Partout, même selon le récit de leurs propres historiens, ils massacrèrent, détruisirent, et pillèrent. Hommes, femmes et enfants étaient passés au fil de l’épée alors qu’ils fuyaient de terreur dans les rues des villes conquises. Les prisonniers étaient décapités sans hésitation, les mosquées et synagogues mises à sac. Des chariots entiers étaient remplis avec le butin.
Après la prise de Jérusalem, beaucoup de croisés, qui étaient venus comme pélerins-guerriers pour profiter de l’aventure et du butin, retournèrent chez eux. Les autres restèrent, formant les classes dirigeantes des quatre petits Etats croisés qui avaient été créés : le comté d’Edesse, la principauté d’Antioche, le comté de Tripoli et le royaume de Jérusalem.
Ce fut la faiblesse islamique qui permit la création des ces Etats, ils étaient donc très fragiles. La force de la cavalerie lourde féodale donnait une domination tactique sur le champ de bataille, mais les croisés étaient politiquement isolés, et trop étendus spatialement. Seuls 500 chevaliers défendaient la principauté d’Antioche. Pour compenser, les croisés construisaient des châteaux massifs en grand nombre. Imprenables, ces châteaux dominaient le paysage autour d’eux, et ils fournissaient un refuge, une protection, et les approvisionnements à de petits groupes d’hommes armés qui, quand c’était nécessaire, en sortaient pour réaffirmer leur pouvoir. Les châteaux représentaient la violence organisée, ils répandaient la peur autour d’eux. C’était nécessaire car les croisés étaient une petite minorité dans une mer humaine potentiellement hostile.
Le servage – dans lequel le paysan laboureur était lié à un seigneur et à un domaine particuliers – n’était pas une caractéristique essentielle du féodalisme. La relation légale entre le serviteur et le maître revêtait moins d’importance que la division du territoire en fiefs militaires, et un taux d’exploitation suffisant pour supporter une caste militaire. Les croisés maintinrent probablement l’organisation de la propriété foncière en Palestine, mais le taux d’exploitation passa au cran supérieur. Les musulmans payaient maintenant la capitation, auparavant réservée aux non musulmans. Il y eut aussi une lourde taxation de la propriété. Les châteaux furent bâtis par des paysans recrutés de force. Le prélèvement de l’impôt foncier était organisé comme une opération militaire. Pour compléter le tableau, beaucoup des croisés, particulièrement ceux qui se trouvaient aux frontières des Etats, étaient de vrais barons-voleurs, qui complétaient leurs revenus en attaquant les pèlerins, les caravanes, et les localités. Construits en terres conquises et dirigés par de petites élites militaires, les Etats croisés ne pouvaient survivre que par la terreur et la surexploitation. C’est seulement de cette manière qu’ils pouvaient obtenir les approvisionnements, les mercenaires, et les fortifications nécessaires à leur survie.
Mais la rancune accumulée prit du temps pour se trouver une orientation et une organisation. Le monde islamique avait été pris par surprise. Il avait été soudainement frappé par un « blitzkrieg féodal ». La classe dirigeante islamique était paralysée par la désunion politique et la faiblesse militaire. Beaucoup cherchaient à nouer des alliances opportunistes avec les croisés. D’autres voulaient simplement rester inactifs. Peu s’engageaient dans la résistance. Durant toute une génération, les croisés gardèrent l’avantage.
D'un autre côté, faut insister assez lourdement sur la faiblesse du "monde islamique" à cette époque, qui avait plus ou moins les même problèmes au niveau de sa superstructure, surtout au niveau de l'armée et des bandes rivales qui s'acharnaient à vouloir prendre la tête d'Etat qui se faisaient aussi souvent la guerre. Malgré la volonté de Nur Ad-Din ou même de Saladin, les giga Etat super-islamique qu'ils avaient crée n'avaient crées n'avaient pas résisté à leur mort, puisqu'il y aura encore des guerres bien après le fait que les "francs" eussent été dégagé de la terre sainte. Là où les croisés ont aussi pêché, c'est qu'à un moment donné ils n'avaient pas seulement des chefs islamiques contre eux, mais aussi des populations sur place qui se rebellaient assez souvent... Donc bon, nous jouer le coup de la barbarie islamique alors que le système féodal est ce qu'il y a de plus barbare et violent comme mode d'organisation et de protection des terres acquises, j'avoue que ça me fait bien marrer !
P.S : Sur ta carte, il y a même les raids jusque dans le sud de la France. Tu sais sans doute que les populations de ce qu'on nomme actuellement le 'Midi' vivaient en relative paix sous la domination musulmane, alors qu'ils ont mangé sévère quand Charles Martel -sorte de Rambo du bas Moyen-Age- s'est pointé et à commencé à dégobiller tout le monde juste parce que ces régions ne voulaient aucunement être soumise à un "Roi" dont ils le reconnaissaient aucune autorité... Ces même région que ce grand Charles Maurras qualifiera "d'arriéré", de "nègres" et j'en passe. Elle est belle ta France quand même, je tiens à le souligner.
Camarade Dzerjinski-
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