Une de moins

Geneviève Fioraso (secrétaire d'Etat à l'Enseignement supérieur et à la Recherche) après avoir menti sur ses diplômes quitte le gouvernement "pour raisons de santé"

http://www.lexpress.fr

A quand Taubirat ?

Taubira, la Ministre de l'Etat Français qui a toujours combattu la France ?
A dégager aussi.

Ce qui est bien, c'est que d'ici 2 ans, ils dégageront tous d'un coup et on ne les reverra plus avant un bon bout de temps.

Toxic Avenger a écrit:Taubira

Taubira Taubirat

Nan mais tobiwa elle restera jusqu'à la fin du mandat hollande

il faut respecter les quotas

Merl1 a écrit:

Geneviève Fioraso (secrétaire d'Etat à l'Enseignement supérieur et à la Recherche) après avoir menti sur ses diplômes quitte le gouvernement "pour raisons de santé"

http://www.lexpress.fr

A quand Taubirat ?

Elle a également menti sur ses lunettes. Elle ne porte que les montures... Pour faire plus intellectuelle ?

C'est une protection contre les projections...

Ce n'est pas une grosse perte ... je n'ai vu aucun texte émanant d'elle.

Par contre niveau diplôme ... elle est titulaire d'une maîtrise d'anglais ... ça sert dans la fonction qu'elle occupait ?

C'est surtout une bonne grosse menteuse.

Elle est formidable....

J'ai pas compris où est le problème avec les propos du fameux Darmanin

Patriote a écrit:J'ai pas compris où est le problème avec les propos du fameux Darmanin

ne cherche pas ce n'est que de la politique de bas étage.

Taubira est intouchable de toutes façons. Même si tu dis qu'elle est incompétente (ce qui est largement le cas), Valls viendra la défendre et limite t'insultera de raciste.

Toxic Avenger a écrit:Taubira est intouchable de toutes façons. Même si tu dis qu'elle est incompétente (ce qui est largement le cas), Valls viendra la défendre et limite t'insultera de raciste.

Tu as ton avis sur TAUBIRA mais n'as aucune certitude que le Premier Ministre ne la virera pas si elle ne rentre pas dans le rang.

Dans le rang libéral, elle y est déjà. Pas de raison de la virer. Elle n'aurait déjà jamais du être dans un gouvernement, quel qu'il soit. Va falloir supprimer sa Loi sur la justice merdique qui permet aux criminels d'être peinards dehors.

Toxic Avenger a écrit:Dans le rang libéral, elle y est déjà. Pas de raison de la virer. Elle n'aurait déjà jamais du être dans un gouvernement, quel qu'il soit. Va falloir supprimer sa Loi sur la justice merdique qui permet aux criminels d'être peinards dehors.

Tu la connais bien cette Loi ? je n'en ai pas trop l'impression à la lecture d'une telle déclaration.

De quoi s'agit-il ?

La loi vise à réformer la politique de prévention de la récidive en diminuant le nombre de victimes tout en garantissant la réinsertion des personnes condamnées.

La loi crée une nouvelle peine : la contrainte pénale.

C’est une peine en milieu ouvert qui s’accompagnera d’obligations et d’interdictions pour la personne condamnée. Elle s’appliquera aux personnes majeures, auteurs de délits ( pas de crimes .... ) pour lesquels la peine maximale est inférieure ou égale à cinq ans d’emprisonnement.

La durée de la contrainte pénale sera comprise entre six mois et cinq ans.

La contrainte pénale comportera des obligations et des interdictions que la personne condamnée sera tenue de respecter : obligation de réparer le préjudice causé, interdiction de rencontrer la victime, obligation de formation ou de travail, obligation de respecter une injonction de soins, etc.

Le Sénat, en première lecture, a fait de la contrainte pénale la peine principale pour une liste de délits.

L’évolution de la personne condamnée sera régulièrement évaluée afin de modifier éventuellement ses obligations.

En cas de non-respect de celles-ci ou de nouvelle condamnation, la personne condamnée pourra être emprisonnée pour une durée égale à la moitié de la contrainte prononcée.

Le texte vise également à préciser le régime de l’exécution des peines, à renforcer le suivi et le contrôle des personnes condamnées et à conforter le droit des victimes.

Le texte supprime les peines minimales prévues pour les récidivistes et les auteurs de violences aggravées (peines planchers).

Le juge de l’application des peines devra procéder à l’examen de la situation des personnes condamnées à une peine de cinq ans d’emprisonnement au plus, lorsqu’elles ont exécuté les deux tiers de leur peine.

Le juge de l’application des peines appréciera à cette échéance si la personne condamnée peut bénéficier ou non d’une mesure de libération sous contrainte dont le régime sera la semi-liberté, le placement extérieur, la surveillance électronique ou la libération conditionnelle.

Le texte prévoit également un examen obligatoire, lors d’un débat contradictoire, de la situation des personnes condamnées à des longues peines, lorsqu’elles ont effectué les deux tiers de leur peine afin d’octroyer éventuellement une libération conditionnelle.

Le rôle de la police et de la gendarmerie est renforcé dans le contrôle des personnes condamnées ou sous contrôle judiciaire.
Un amendement adopté à l’Assemblée nationale fixe à un an pour les primo condamnés et les récidivistes le seuil d’emprisonnement permettant au juge d’aménager une peine d’emprisonnement.

Un autre amendement introduit la possibilité pour les services de police et de gendarmerie de recourir aux écoutes téléphoniques et à la géolocalisation en temps réel, afin de s’assurer du respect de l’interdiction d’entrer en relation avec certaines personnes ou de paraître en certains lieux pour la personne condamnée.

Le Conseil a jugé que l’article 49, qui instaurait une majoration automatique de certaines amendes (pénales, douanières, etc.), était contraire à la Constitution car il contrevenait au principe d’individualisation des peines.

http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/justice/fonctionnement/justice-penale/quels-sont-differents-types-peines.html

Taubira est une incapable qui rend la justice de ce pays encore plus laxiste que ce qu'elle n'était avant. C'est dire l'état de la France.

de beauregard a écrit: en garantissant la réinsertion des personnes condamnées.

Je ne vois pas l’intérêt de réinsérer des cadavres. Peut-être un projet de compostage ?

Merl1 a écrit:

de beauregard a écrit: en garantissant la réinsertion des personnes condamnées.

Je ne vois pas l’intérêt de réinsérer des cadavres des personnes condamnées. Peut-être un projet de compostage ?

Faut tout livre ma pauvr'lucette

En même temps, personne n'est condamné en France. Donc facile de les réinsérer, ils sont déjà dehors.

Toxic Avenger a écrit:En même temps, personne n'est condamné en France. Donc facile de les réinsérer, ils sont déjà dehors.

ne baratines pas n'importe quoi, même si ça te plaît !

Au 1er février 2015, 66.310 personnes étaient incarcérées en France, ce qui représente une baisse de 2,2 % par rapport au mois de février 2014 (67.820). Au 1er janvier 2015, il y avait 66.270 personnes incarcérées, ce qui représente une hausse mensuelle de 0,1 %.

Parmi le total des personnes incarcérées, le nombre de personnes prévenues s’élève à 17.291 pour 49.019 personnes condamnées, soit 26,07 % des personnes incarcérées (24,97 % au 1er janvier 2015). Cela représente une baisse de 0,4 % par rapport à l’année précédente (en février 2014, on dénombrait 17.363 prévenus).

Il y avait en ce début février 2015 en France 77.432 personnes sous écrou dont 66.310 incarcérées, ce qui représente pour ces derniers une baisse de 2,2 % par rapport au mois de février 2014 (67.820). Le nombre de personnes sous écrou est en baisse de 1,7 % sur douze mois (1.305 personnes sous écrou de moins).

Les détenus mis en placement sous surveillance électronique sont nombreux : 10.517 dont 215 personnes placées sous surveillance électronique de fin de peine (SEFIP) et 41 en libération sous contrainte.

Resté sous la barre des soixante mille pendant les années 1990, et passé sous les cinquante mille en 2001, le nombre de détenus a augmenté depuis, parallèlement à l’importance prise dans la vie politique par le thème de l’insécurité. La situation est considérée comme critique par les syndicats de personnels pénitentiaires et de magistrats, avec des entassements de détenus jugés particulièrement graves dans les maisons d’arrêt, en principe réservées aux personnes non jugées. Le taux de placement sous écrou est de 118 pour 100.000 habitants et le taux de détention de 101 pour 100.000 habitants.

En ce mois de février 2015, les prisons françaises demeurent surchargées et le Contrôleur général des lieux de privations de liberté dénonce par des recommandations en urgence l’insalubrité de certains établissements pénitentiaires de notre pays (Nouméa, Baumettes).

Les mineurs détenus sont 699 au 1er février 2015, ce qui représente une baisse (0,7 %) par rapport au mois précédent (704 au 1er janvier 2015). Ils étaient 737 au 1er février 2014. Les mineurs détenus représentent 1,1 % des personnes incarcérées.

Au 1er février 2015, 256 d’entre eux étaient dans des établissements pour mineurs (EPM). Ces établissements sont sous-occupés (353 places opérationnelles, soit 97 places inoccupées), alors que 443 mineurs (63,3 %) sont détenus dans d’autres établissements. Ils se répartissaient ainsi :

- Meyzieu / Rhône : 35 détenus pour 60 places opérationnelles
- Lavaur : 34 détenus pour 59 places opérationnelles
- Quiévrechain : 42 détenus pour 60 places opérationnelles
- Marseille : 54 détenus pour 59 places opérationnelles
- Orvault (Nantes) : 34 détenus pour 55 places opérationnelles
- Porcheville (Mantes) : 57 détenus pour 60 places opérationnelles

Il y a 2.655 femmes sous écrou au 1er février 2015. 2.058 d’entre elles sont en prison.

Au 1er février 2015, 12.964 personnes écrouées bénéficient d’un aménagement de peine sous écrou, soit 21,6 % de l’ensemble des personnes écrouées condamnées (ce pourcentage ne tient pas compte des 215 condamnés placés sous surveillance électronique fixe en fin de peine et des 41 en libération sous contrainte). Les aménagements de peine ont augmenté de 2,8 % en un an (12.605 au 1er février 2014).

Il y a ainsi 977 personnes bénéficiant d’une mesure de placement à l’extérieur sans hébergement en février 2015 (1.007 au 1er février 2014), 1.726 d’une mesure de semi-liberté en février 2015 (1.838 au 1er février 2014) et 10.517 d’un placement sous surveillance électronique (10.296 au 1er février 2014). Le Ministère distingue les personnes condamnées en placement sous surveillance électronique en aménagement de peine (10.030), les personnes condamnées en placement sous surveillance électronique de fin de peine (215) et les personnes en libération sous contrainte (41).

Au 1er janvier 2015, le parc pénitentiaire compte 57.844 places opérationnelles, grâce aux ouvertures des nouveaux établissements entre 2008 et 2014 - Mont-de-Marsan, Saint-Denis de la Réunion, Roanne, Lyon-Corbas, Nancy-Maxéville, Poitiers-Vivonne, Béziers, Le Mans, Bourg-en-Bresse, Rennes-Vezin, Le Havre, Lille-Annœullin, Réau et Orléans-Saran.

Au 1er février 2015, 6 établissements ou quartiers ont une densité supérieure ou égale à 200 %, 31 établissements ou quartiers ont une densité supérieure ou égale à 150 et inférieure à 200 %, 48 établissements ou quartiers ont une densité supérieure ou égale à 120 et inférieure à 150 % et 32 établissements ou quartiers ont une densité supérieure ou égale à 100 et inférieure à 120 %.

Au 1er février 2014, le nombre de détenus dormant sur un matelas posé à même le sol était de 992. Le record reste au 1er juillet 2014 avec 1.197 ! Il était de1.006 au 1er janvier 2015, 1.065 au 1er novembre, de 1.046 au 1er octobre, 1.017 au 1er septembre, 1.109 au 1er avril, 1.104 au 1er mars, 1.076 au 1er février 2014, 1.047 au 1er décembre 2013, 991 au 15 octobre, 600 au 10 septembre, 904 au 12 août, 973 au 15 juillet, 990 au 17 juin, 958 au 22 avril, 860 au 1er mars, de 783 au 1er février, de 746 au 1er janvier 2013, 639 au 31décembre 2012.

Au 1er janvier 2015, le nombre de détenus en surnombre était de 12.117. Le nombre moyen de détenus en surnombre était en 2010 de 9.280, en 2011 de 10.640, en 2012 de 12.340 et en 2013 de 12.910.

Au 1er janvier 2012, il y avait :

- 487 condamnés en cours d’exécution d’une peine de réclusion criminelle à perpétuité.
- 1.830 condamnés en cours d’exécution d’une peine entre 20 et 30 ans.
- 5.297 condamnés en cours d’exécution d’une peine entre 10 et 20 ans.

Sources : Direction de l’Administration pénitentiaire et OPALE

de beauregard a écrit:

Merl1 a écrit:

de beauregard a écrit: en garantissant la réinsertion des personnes condamnées.

Je ne vois pas l’intérêt de réinsérer des cadavres des personnes condamnées. Peut-être un projet de compostage ?

Faut tout livre ma pauvr'lucette

Avec le casier nécessaire à une incarcération en France pour crime de droit commun, ils méritent tous la peine de mort.

Les plus dangereux sont dehors, et ça c'est un fait. Alors oui, foutre un chômeur qui a volé dans un magasin en prison, en effet y'en a.

Toxic Avenger a écrit:Les plus dangereux sont dehors, et ça c'est un fait. Alors oui, foutre un chômeur qui a volé dans un magasin en prison, en effet y'en a.

Tu as des preuves de ce que tu avances ?