Les posteurs les plus actifs de la semaine
Aucun utilisateur |
═══════════════════════
Derniers sujets
Ségolène Royal vent debout contre la hausse des tarifs SNCF
Page 1 sur 1
Ségolène Royal vent debout contre la hausse des tarifs SNCF
«Un très mauvais signal.» Voilà comment Ségolène Royal qualifie la hausse des tarifs de la SNCF de 2,6% entrée en vigueur au 31 décembre 2014.
Sur le plateau du Grand jury RTL/LCI/«Le Figaro», la ministre de l'Ecologie est apparue particulièrement remontée, ce dimanche.
«Je veux que la SNCF reste un outil de transport de masse», prévient Royal, «pas d'accord avec la hausse des tarifs des trains». «C’est contradictoire avec tout, avec la loi de transition énergétique», tonne encore la ministre.
Catégorique, elle lance : «Je veux dire aux dirigeants des entreprises publiques qui, parce qu'elles sont en situation de monopole, s'engagent dans des fuites en avant et considèrent qu'elles peuvent augmenter leur chiffre d'affaires en augmentant les tarifs, que ce n'est plus possible.» «Je suis attachée aux entreprises publiques à condition qu'elles soient effectivement engagées au service du public», achève-t-elle.
Royal veut «réformer la façon dont l'Etat contrôle les prix»
Et d'annoncer qu'elle compte «réformer par décret la façon dont l'Etat contrôle les prix des transports publics et notamment du train, parce que les choses ne sont pas claires». Royal plaide pour «une transparence des prix» et «une consultation des usagers».
Dans le même temps, la ministre a tenté de rassurer, en indiquant que la hausse des tarifs ne concernerait que «les tarifs dits affaire», c'est-à-dire à les billets à plein tarif. Pour les «80 millions de billets qui sont des tarifs d'abonnement, soit des billets réservés suffisamment tôt à l'avance, ces billets n'augmenteront pas, il y aura une stabilité», assure-t-elle.
Reste que son discours de ce dimanche tranche avec la ligne défendue par son ministère il y a quelques jours. Le 27 décembre, il estimait dans un communiqué que «cette hausse de 2,6% s'avèr(ait) nécessaire à l'amélioration de la qualité du service offert aux voyageurs, car, en 2014, seule la hausse de la TVA avait été répercutée sur le prix des billets». Le secrétariat d'Etat aux Transports avait alors lui aussi défendu cette augmentation et l'avait jugée «nécessaire à l'amélioration de la qualité du service offert aux voyageurs».
Sur le plateau du Grand jury RTL/LCI/«Le Figaro», la ministre de l'Ecologie est apparue particulièrement remontée, ce dimanche.
«Je veux que la SNCF reste un outil de transport de masse», prévient Royal, «pas d'accord avec la hausse des tarifs des trains». «C’est contradictoire avec tout, avec la loi de transition énergétique», tonne encore la ministre.
Catégorique, elle lance : «Je veux dire aux dirigeants des entreprises publiques qui, parce qu'elles sont en situation de monopole, s'engagent dans des fuites en avant et considèrent qu'elles peuvent augmenter leur chiffre d'affaires en augmentant les tarifs, que ce n'est plus possible.» «Je suis attachée aux entreprises publiques à condition qu'elles soient effectivement engagées au service du public», achève-t-elle.
Royal veut «réformer la façon dont l'Etat contrôle les prix»
Et d'annoncer qu'elle compte «réformer par décret la façon dont l'Etat contrôle les prix des transports publics et notamment du train, parce que les choses ne sont pas claires». Royal plaide pour «une transparence des prix» et «une consultation des usagers».
Dans le même temps, la ministre a tenté de rassurer, en indiquant que la hausse des tarifs ne concernerait que «les tarifs dits affaire», c'est-à-dire à les billets à plein tarif. Pour les «80 millions de billets qui sont des tarifs d'abonnement, soit des billets réservés suffisamment tôt à l'avance, ces billets n'augmenteront pas, il y aura une stabilité», assure-t-elle.
Reste que son discours de ce dimanche tranche avec la ligne défendue par son ministère il y a quelques jours. Le 27 décembre, il estimait dans un communiqué que «cette hausse de 2,6% s'avèr(ait) nécessaire à l'amélioration de la qualité du service offert aux voyageurs, car, en 2014, seule la hausse de la TVA avait été répercutée sur le prix des billets». Le secrétariat d'Etat aux Transports avait alors lui aussi défendu cette augmentation et l'avait jugée «nécessaire à l'amélioration de la qualité du service offert aux voyageurs».
Re: Ségolène Royal vent debout contre la hausse des tarifs SNCF
Il y a 4 ans quand j'ai commencé mes études j'avais un abonnement étudiant mensuel à 64€. La dernière fois que je l'ai payé (début décembre) j'en étais à 70€ pour toujours le même abonnement que 4 ans avant. Je sens que je vais bien rigoler quand je vais le payer pour le mois de janvier
Sujets similaires
» Sivens: "si les gens s'étaient écoutés plus tôt, on n'en serait pas arrivés là", juge Ségolène Royal
» Tarifs des autoroutes : beaucoup de bruit pour rien
» Droit à uriner debout
» Nomination du gouvernement Royal.
» Hausse des inégalités : l’OCDE tire la sonnette d’alarme
» Tarifs des autoroutes : beaucoup de bruit pour rien
» Droit à uriner debout
» Nomination du gouvernement Royal.
» Hausse des inégalités : l’OCDE tire la sonnette d’alarme
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Mer 14 Aoû - 10:43 par MarieMadeleine
» MarieMadeleine
Mar 13 Aoû - 22:11 par Napoléon III
» RIP
Mar 13 Aoû - 22:10 par Napoléon III
» Salut tout le monde !
Sam 3 Aoû - 1:49 par Napoléon III
» Le rire du diable… Bonjour l'euthanasie
Dim 16 Oct - 12:52 par Invité
» Le rire du diable… Bonjour l'euthanasie
Dim 16 Oct - 12:50 par Invité
» Jean Lassalle
Dim 16 Oct - 11:50 par Invité
» Les vieux
Dim 16 Oct - 11:36 par Invité
» Jean Marie Bigard
Sam 17 Sep - 14:55 par Raptortriote