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Les races : un fait indeniable.

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Message par Louis Quemener Sam 5 Mar - 20:12

Parlons un petit peu de quelque chose qui n'est nié à peu près qu'en france ... pays du bolchevisme racial.

https://blancheurope.wordpress.com/2016/02/27/analyse-des-faux-arguments-contre-lexistence-des-races/

Les anti-blancs ont souvent de nombreux contre-arguments qu’ils tentent de nous opposer pour esquiver la masse de preuves insurmontables.

C’est donc l’objet du présent article : identifier ces réponses fallacieuses, et vous donner les armes intellectuelles pour les annihiler.

Les arguments sont triés des plus faibles aux plus « forts ». Cette liste n’est probablement pas exhaustive, mais elle devrait traiter ceux qui reviennent le plus.

Avant-Propos : définition de la race

Une race désigne un ensemble d’individus au sein d’une espèce présentant un ensemble de caractères biologiques héréditaires, communs au groupe et qui le distinguent, dans leur ensemble, des autres groupes.

De plus, une race correctement définie vérifie ces deux propriétés :

L’individu de la race est en moyenne plus apparenté à un autre membre de la race qu’à un individu hors de sa race.
Le groupe d’individus ainsi identifié est historiquement apparenté (par opposition à une collection d’individus issue de divers groupes à travers la planète)
On ne peut pas nécessairement à tout individu associer une race.

I – C’est raciste de parler de races

Il s’agit là d’une simple tentative d’intimidation, avec exactement zéro argument rationnel. Faites le remarquer clairement.

II – Les conséquences morales de l’existence des races sont intolérables

On m’a déjà réellement opposé cet argument, et il rejoint le précédent.
D’un point de vue logique, il est là encore aisé de régler son sort : ce qui nous intéresse, c’est de savoir si les races et leurs différences existent ou non. Si c’est vrai ou si c’est faux. Et non pas si, dans un ensemble de valeurs donné, il se trouve que c’est acceptable ou non.
Au point de vue émotionnel, il y a un grand facteur d’aveuglement pour les plus endoctrinés. Mais n’hésitons pas à le répéter : la réalité est. Elle ne se plie pas aux idéologies pour leur complaire. Les émotions n’ont rien à faire dans une discussion sur la biologie.

III – Tout les humains peuvent se reproduire entre eux

Pouvoir avoir une descendance viable est le critère qui permet de distinguer des espèces entre elle. C’est là une confusion entre espèce et race.

Les diverses races d’une espèce, par définition, peuvent justement encore produire des descendants viables par le métissage. Cependant, plus les différences génétiques et phénotypiques sont importantes, plus cela produit de complications, que ce soit dans le développement foetale ou plus tard. Par exemple, les individus métis ne peuvent pas recevoir de dons d’organe, ne pouvant trouver de donneur assez proche que ce soit d’un côté ou de l’autre.

IV – Certains scientifiques nient l’existence des races humaines

Nier les réalités raciales, ou habilement les contourner en les affublant d’autres vocables comme sous-espèces, est une nécessité pour qu’un scientifique ne voit pas ses crédits de recherche coupés, à une époque où le pouvoir politique est farouchement opposé à la notion de races, et surtout à celle subséquente de leurs différences.

D’autres (((scientifiques))) ont tout simplement un agenda politique qu’ils cherchent à promouvoir : ils ne cherchent pas à établir des faits selon la méthode scientifique mais à donner l’illusion que les théories qui les arrangent sont

L’argument d’autorité n’étant pas recevable, peu nous importe que certains pensent ceci ou cela.

V – Les différences génétiques entres races sont seulement de 0,x%

Cet argument consiste à dire que ce 0,x% (typiquement autour de 0,1-0,2%) est négligeable et donc que les races n’existent pas. Mais on ne nous donne jamais le seuil à partir duquel soudain on pourrait parler de race. Si environ 1,5% suffit à nous distinguer du chimpanzé, pourquoi 0,1% ne pourrait donc pas distinguer des races comptant des différences massives ?

D’ailleurs, la différence entre humain et chimpanzé est plus qu’une simple différences entre espèces, puisque le chimpanzé n’est pas un hominidé. Certaines espèces distinctes – comme l’âne et le cheval ou le tigre et le lion – peuvent avoir des descendants, mais qui sont stériles. On en est très loin entre homme et chimpanzé.

Non, ces 0,1% sont tout à fait suffisants pour parler de races différentes.

VI – Ce n’est qu’une question de couleur de peau

Ah oui ?
Albinos

Et il n’y a pas que la morphologie du visage qui change : on a des sensibilités différentes aux maladies, des structures osseuses différentes, ou encore des différences sur le plan cérebral.

VII – Il n’y a pas de races, juste des ethnies

La race recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères biologiques. L’ethnie recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères culturels (langue, religion, repères moraux, habitudes sociales etc.). Ainsi une race humaine peut être subdivisée en ethnies.

Le mot ethnie n’est pas un remplacement du mot race car ces mots recouvrent des notions différentes.

Les différences socioculturelles qui permettent de distinguer les ethnies sont le domaine des ethnologues, alors que les généticiens et les anthropologues sont capables d’effectuer une classification raciale des humains d’après les critères biologiques.

Cependant, les caractéristiques culturelles d’une ethnie, favorisent souvent un certain degré d’isolement, de sorte qu’un individu d’une ethnie préfère des contacts avec des individus de la même ethnie, et aura plus facilement des descendants avec un partenaire de la même ethnie que d’une autre ethnie (endogamie). De sorte que certaines mutations se propagent prioritairement à l’intérieur de certaines ethnies avant de diffuser autour.

VIII – Toute division en groupe raciaux est arbitraire

On peut avoir une division plus ou moins fine. Par exemple, au sein de l’espèce humaine on peut distinguer la race caucasoïde, qu’on peut elle-même subdiviser, avec la race blanche et d’autres races qui forment les peuples d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient et du Nord du sous-continent indien.

Cependant, une division selon n’importe quels critères n’est pas valide. Si par exemple on utilisait la taille comme critère, on remarquerait bien que :

La distance génétique moyenne entre les individus du groupe n’est pas particulièrement inférieure à celle au sein de l’espèce.
Il n’y a aucune corrélation avec les groupes historiques : on pourrait avoir des africains pygmés avec des asiatiques parmi les petits, et d’autres africains avec des européens parmi les grands ; par exemple.
De manière générale, utiliser un critère unique est inapproprié, il convient davantage de considérer un faisceau de traits, car les différences entre races portent justement sur de nombreux traits.

Les divisions classiques en groupe raciaux ne sont pas arbitraires puisqu’elles recoupent à la fois des groupes historiques et des différences biologiques mesurables.

Pour le cas des individus intermédiaires, je renvoie au point suivant.

IX – Il n’y a pas d’allèle ou de phénotype exclusif à une race

En vérité, il existe bien des allèles ou phénotypes exclusifs à des races ; ou plus souvent inexistants chez certaines races. Par exemple, la prévalence des yeux bleus au sein de la race nègre pure est d’exactement zéro pourcents. Ceci dit, avec la mondialisation rapide et les nombreux cas d’individus métis, la conséquence est qu’on pourrait trouver des individus essentiellement d’une certaine race, mais avec quelques traits distincts issus d’une autre.

Aussi, économisons les débats sur la classification des individus : le fond de cet argument consiste à dire que la prévalence des caractères est sans importance. Par exemple, compter 99% d’allèles codant pour des yeux bleux et 1% pour des yeux noirs serait identique à avoir 99% d’allèles pour des yeux noirs et 1% pour des yeux bleus. Maintenant, appliquez cela sur des milliers de gènes codant des traits physiques et psychiques. D’après cet argument, même si un individu d’un groupe aurait en moyenne 1% d’allèles communes avec les gens de l’autre groupe, contre 99% avec les gens de son groupe ; il serait illégitime de faire une distinction raciale entre les deux groupes.

L’exemple est bien sûr simplifié, mais la conclusion est sans appel : dire qu’une différence de prévalence de caractères génétiques ou phénotypiques n’est pas un critère valable pour établie des distinctions raciales est faux.

X – Nous sommes tous métis et donc les races ne peuvent pas être définies

Il s’agit là d’une assertion non prouvée expliquant que chaque individu aurait parmi ses ancêtres des gens issus de groupes très différents.

Considérant que :

Il n’est nullement prouvé que tous aient été issus de pareils mélanges, et même qu’il est probable que l’on puisse trouver des individus qui n’aient pas un seul ancêtre issu d’une autre race dans toute leur lignée sur des milliers d’années (on en trouve très certainement parmi toutes les races, mais les cas les plus évidents se trouvent en Afrique centrale qui ne fut nullement au contact d’autres groupes humains jusqu’à très récemment, à la fin du XIXème siècle)
On pourra trouver des individus ayant parmi leurs ancêtres à la 10ème ou 15ème génération un individu issu d’une autre race, mais qui n’en ont pas pour autant un seul gène ; ou alors un chromosome isolé. Cela ne remet pas fondamentalement en cause leur classification raciale.
Les cas d’individus ayant un ancêtre issu d’une autre race dans les 4 ou 5 dernières générations restent, encore heureusement, assez nettement minoritaires.
On peut donc conclure que non nous ne sommes pas « tous métis ».

De plus, même si chacun avait un ancêtre lointain issu d’une autre race, cela ne voudrait pas dire que les races ne pourraient pas être définies. Cet argument du « tous métis » est donc généralement associés à la variante qui suit.

Variante : les différences inter-individuelles dans un groupe seraient plus grande que les différences inter-raciales

L’argument semble très fort. Pourtant, si n’importe qui peut aisément identifier la race (à une échelle large : caucasoïdes, négroïdes, asiatiques, etc…) d’une personne non métissée simplement en regardant son visage, c’est bien qu’il y a des similitudes fortes au sein de la race.

Alors, où est l’arnaque ?

Selon le juif Richard Lewontin, qui a avancé cet argument pour la première fois, on retrouve 85,4% des variations au sein de populations, 8,3% des variations entre les populations au sein d’une race, et 6,2% entre les races.

Première remarque : l’argument ne consiste donc pas à dire qu’il y a plus de différences entre un individu au hasard avec un autre dans une population/race qu’un autre dans l’espèce humaine. Il consiste juste à dire que la plupart des différences se retrouvent au sein des populations. Des données relativement similaires à celles de Lewontin ont été retrouvées par la suite. On ne discutera pas de l’importance du métissage des derniers siècles sur celles-ci.

Deuxième remarque : l’argument se fonde sur l’existence des différences au sein du groupe, pas de leur fréquence. Un nègre aux yeux bleus via un ancêtre européen lointain suffirait ainsi pour affirmer que les yeux bleus font partie des différences internes à la population et pas inter-raciales.

C’est une reprise de l’argument IX : on oublie les différences de fréquences alléliques.

C’est pourquoi, au milieu de remarques interminables sur les différences inter-individuelles importantes, des « experts » accrédités citant avec attention le juif anti-blanc Richard Lewontin (grande référence pseudo-scientifique sur l’inexistence des races), ont tout de même constaté qu’avec une centaine de locus il était possible d’établir avec certitude l’appartenance raciale d’un individu.

XI – Il y a des individus qu’il est difficile de classer dans une race donnée

Cet argument est fallacieux pour deux raisons :

Primo, il suppose que si on ne peut pas classer exactement tout individu alors la notion n’est pas valide. Pour dresser un parallèle très parlant : le jour et la nuit sont des faits fondamentaux et incontestables. Mais à l’aube et au crépuscule, peut-on identifier un instant où l’on bascule brutalement entre le jour et la nuit ? La difficulté à établir un point de bascule exact n’empêche pas que le jour et la nuit existent bel et bien et sont des faits d’une importance considérable.
Secundo, il se fonde sur une méthodologie erronée, qui consiste à lister un certain nombre de races et à vouloir identifier à chaque individu exactement l’une d’entre elle, et à clamer que les races n’existent pas si on n’y parvient pas. C’est de manière évidente impossible de le faire pour les individus métis et il serait stupide de dire qu’un individu est de race « asiatico-congoïde » par exemple. Les mûlatres n’appartiennent à aucune race spécifique mais partagent des éléments avec certaines. A long terme, cela peut se finir dans l’émergence d’une autre race ou dans l’absorption par l’un des groupes raciaux antérieurs.
XII – La science n’est pas capable de distinguer les races humaines

C’est l’argument massue de nos adversaires. Malheureusement pour eux, il est faux. Même si la science d’aujourd’hui n’était pas capable de distinguer les races humaines cela ne signifierait pas que les races humaines n’existent pas ; mais elle est capable de les distinguer.

Toute personne normalement constituer peut distinguer les faciès et les classifier dans des groupes raciaux principaux – ou, en cas d’ambiguïté, identifier le caractère métis d’un individu.

Mais il se trouve que la science actuelle est capable de distinguer les races humaines. Nous l’avons vu à la fin de l’argument X. Seulement, ce fait n’est pas mis en avant. De façon générale, ce qui est mis en avant ce sont les interprétations scientifiques qui contribuent à la propagation de l’idéologie actuellement dominante du mondialisme et de l’universalisme uniformisateur.

Un phénomène analogue de science interprétée selon les besoins de la cause peut être trouvé avec l’idéologie lyssenkiste qui a été pendant près de 30 ans la science officielle en URSS.

Les idéologues soviétiques avaient besoin de démontrer scientifiquement que les individus sont égaux par nature, c’est-à-dire dans leur hérédité, et que seul l’environnement crée des différences de potentiel entre les individus. Les « preuves scientifiques », qui manquaient aux idéologues soviétiques, furent apportées par Trofim Denissovitch Lyssenko.

Avec ses explications « scientifiques » il avait dès 1935 attiré l’attention de Staline qui l’a mis en position d’engager une campagne systématique contre ses adversaires, qu’il dénonçait comme des ennemis du peuple, et contre la génétique, qu’il qualifiait de science bourgeoise et raciste.

Le lyssenkisme, c’est-à-dire la science officielle soviétique au service d’une idéologie, a tenté d’imposer la croyance qu’il n’y a pas de différences génétiques entre les individus au moment de leur conception et que c’est l’environnement qui façonne au cours de son existence la variante biologiques d’un individu.

De même l’interprétation officielle mise en avant dans la société européenne actuellement, au début du XXIème siècle, tente d’imposer la croyance que génétiquement les différences entre les groupes humains, races ou ethnies, n’existent pas.

Ainsi dans les écoles en France, on endoctrine les enfants avec toute sorte d’affirmations fausses comme par exemple que « la seule différence entre les groupes humains est la différence de couleur de peau et donc les races n’existent pas ».

Conclusion

L’existence des races est une évidence pour toute personne qui n’a pas été idéologiquement endoctrinée par la propagande d’Etat et qui se contente de regarder la réalité.

Mais, du fait de l’importance politique de la négation des races pour le système dominant, tout est fait pour passer sous silence cette évidence.

Mais, comme nous venons de le voir, tout les contre-arguments sur l’inexistence des races se révèlent inexacts ou même ouvertement fallacieux.

En dépit de l’entreprise de terrorisme intellectuel qui est menée pour délégitimer l’idée de races, la réalité persiste et finira par éclater au grand jour.
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Message par Merl1 Dim 6 Mar - 18:45

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Message par Saint Crouton Éclairé Dim 6 Mar - 23:58

why do you wanna bomb nigroland ?
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Message par Louis Quemener Lun 7 Mar - 9:24

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Message par Mckay Lun 7 Mar - 10:11

Je me suis arrêté là, j'ai compris. Vous copiez chez Astérix ?

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Message par Louis Quemener Lun 7 Mar - 10:19

chez asterix on ne parle que des chambres à gaz et rien d'interessant
et j'emmerde le "nationalisme français", ça ne veut rien dire, on peut être "royco" ou "patriote" français mais c'est pas une nation.
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