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Les frondeurs ou 'lAutre gauche
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Saint Crouton Éclairé
Wiston
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Les frondeurs ou 'lAutre gauche
Après janvier 2015, l’Autre gauche dans l’impasse !
Les trois événements de janvier 2015 (les assassinats des 7, 8 et 9 janvier, la victoire électorale de Syriza du 25 janvier, la démonstration de force de Podemos du 31 janvier) n’ont pas appris grand-chose aux gauches françaises.
Quant aux dirigeants politiques néolibéraux (François Hollande, le gouvernement Valls et la direction du PS), non contents d’avoir tué, dans le temps présent, l’idée de « gauche » en France, ils ont réagi en rajoutant un « catéchisme républicain » à une école des compétences largement dévouée aux désirs du patronat.
À aucun moment, la direction néolibérale autour de François Hollande n’a voulu travailler sur les causes du séisme des 7, 8 et 9 janvier, dont Copenhague a eu droit à une réplique de même nature un mois plus tard.
Son appel à des intervenants extérieurs à l’école pour prodiguer le nouveau « catéchisme républicain » n’est pas de bon augure pour la suite de l’histoire.
Quand à l’Autre gauche, elle se réduit de plus en plus à la fraction idéologique de la petite et moyenne bourgeoisie, qui ne possède plus aucune force propulsive pour s’allier avec la classe populaire ouvrière et employée, majoritaire en France, mais dont la plus grande partie s’abstient aux élections en partie par défiance envers elle.
Pire, n’ayant rien appris de l’histoire des années 30, cette gauche observe, stupéfaite, que les couches déclassées tant de la classe populaire ouvrière et employée que des couches moyennes intermédiaires, lorgnent de plus en plus vers le FN.
Les résultats de la 4e circonscription législative du Doubs sonnent le désastre imminent. Dans une circonscription populaire, le Front de gauche allié au NPA et aux chevènementistes du MRC font 3,6 % !
La voie royale vers la marginalité.
Tirer les enseignements stratégiques
Au lieu de s’inspirer des exemples de Syriza et de Podemos sur les questions stratégiques, l’Autre gauche française se contente de meetings de soutien aux luttes, d’ailleurs sans jamais faire ici et maintenant ce que font ceux qui ont progressé aux élections en Espagne ou en Grèce : pas d’alliances avec les partis austéritaires (en France, alliances de larges secteurs du PCF avec les socialistes notamment), priorité à l’éducation populaire contre l’austérité (refus de l’éducation populaire de l’ensemble de l’Autre gauche française au profit de campagnes dans l’entre soi), agir dans le temps court pour répondre aux besoins du peuple comme dans l’exemple grec : dispensaires gratuits, crèches autogérées, etc. (alors qu’en France, on préfère la méthode du « votez pour moi et ça ira »).
Le communautarisme, maladie infantile de l’Autre gauche
La cerise sur le gâteau revient à la plupart des partis de l’Autre gauche qui viennent de se mettre à la remorque des ultra communautaristes des « Indigènes de la République » (seule la direction du Parti de gauche n’a pas signé cette mascarade politique).
Après la mobilisation des communautaristes catho-empathiques de la « Manif pour tous » contre le mariage pour tous et la « cathophobie », voici l’opération des communautaristes islamo-empathiques pour rassembler en meeting à Saint-Denis contre « l’islamophobie ».
Commençons par noter la confusion de ce pseudo concept qui met dans le même pot les actions de haine contre les musulmans (qui doivent être combattues) et les critiques de la religion (qui doivent être libres dans toute démocratie laïque).
Réunis d’abord en collectif le 13 décembre dernier, les communautaristes des « Indigènes de la république » et leurs amis anti-laïques primaires ont décidé le 8 février de faire un meeting le 6 mars.
Ensemble, ils fêteront à l’avance la déroute de l’Autre gauche aux élections des 22 et 29 mars 2015, qui montrera le fossé qui la sépare du peuple. Il n’y aura pas de transformation sociale et politique en France autour de ceux qui préfèrent la démocratie anglo-saxonne, pivot du néolibéralisme, à la République sociale et laïque, seul modèle alternatif au « mouvement réformateur néolibéral ».
Regrouper tous les opposants aux quelques lois laïques qui restent dans notre pays constitue l’impasse définitive.
Voilà où se sont enfermées les directions du PCF, d’EELV, d’ATTAC, du NPA, associées à l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) proche des l’organisation internationale islamiste des Frères musulmans qui utilisent des conférenciers du type Hani Ramadan ou Hassan Iquioussen dont l’obscurantisme est patent.
Face au néolibéralisme, tout est à reconstruire !
Tirer les enseignements en termes de ligne politique
L’accord intervenu entre les dirigeants de l’Union européenne et Alexis Tsipras et Yanis Varoufakis, respectivement premier ministre et ministre des finances de la Grèce, pour continuer à recevoir les « aides » européennes, pose les questions suivantes :
– « Est-il possible de sortir des politiques austéritaires sans rupture avec les politiques ordolibérales de la zone euro et de l’Union européenne ? » Toutes les Chroniques d’Évariste ont montré que non. Il n’y aura pas d’euro social. L’euro est construit uniquement pour et par les politiques néolibérales européennes.
– « Si rupture il faut, la question devient : quand doit-elle intervenir ? »
Selon nous, cette rupture ne peut pas se faire à froid de façon harmonieuse et idéaliste mais bien à chaud effectué sur ce sujet et donc du soutien populaire qu’il est nécessaire de garder jusqu’au moment de cette rupture.
L’accord accepté par Alexis Tsipras et Yanis Varoufakis entraîne en fait le renvoi à plus tard des promesses électorales sur les politiques de temps court.
Si le gouvernement grec a remis la feuille de route exigée, il a en effet capitulé en rase campagne : il pourra toujours arguer qu’il n’y a plus de Troïka, mais il accepte que les « institutions » (celles de la Troïka !) évaluent les réformes promises avant de donner le feu vert à l’Eurogroupe du jeudi 26 février pour étendre jusqu’à fin juin le plan d’aide, rebaptisé « accord » (l’honneur est sauf), en cours.
Selon Reuters, « l’ignoble Schäuble » (qui a finalement eu le dernier mot, contrairement à ce qu’annonçait triomphalement un tweet de Jean-Luc Mélenchon) aurait jugé le plan grec « cohérent et crédible » et aurait déjà demandé au Bundestag d’accepter cette prolongation en cas de feu vert des « institutions ».
Et plus question de salaire minimum ni de retour sur l’essentiel des mesures d’austérité qu’avait mises en route le précédent gouvernement.
Ça va tousser à Syriza !
Mais au moins, ceux qui s’interrogeaient sur le devenir de l’expérience Syriza, savent maintenant que le gouvernement grec n’a pas renversé la table, contrairement à ce qu’ils espéraient, mais qu’il est bel et bien passé dessous.
Il ne s’agit pas de tirer sur Alexis Tsipras, qui n’avait pas d’autre choix, il s’agit de tirer sur ceux qui ont propagé l’illusion qu’il pouvait en avoir un autre, les « intellos » pour briller, les politiques pour tenter de récupérer la dynamique Syriza-Podemos sans même en tirer les enseignements stratégiques.
Que faire ?
Devant ce désastre annoncé, nous ne voyons pas d’autres chemins que celui qui consiste à engager aujourd’hui un rassemblement de la gauche laïque anti-libérale et anti-capitaliste pour soutenir les initiatives d’éducation populaire existantes et créer les conditions d’une large campagne d’éducation populaire pour la transformation sociale et politique.
http://www.gaucherepublicaine.org/respublica/apres-janvier-2015-lautre-gauche-dans-limpasse/7395352
Les personnalités dites " frondeurs " ou autre gauche pour le PS " ne sont en fait que des nantis tombés par hasard dans la marmite du socialisme sans bien comprendre que nous sommes au XXIème siècle et que nous ne pourrons pas nous en sortir sans passer par le "trou" néo-libéral.... ça ils n'en veulent pas au non de la sacrée sainte luttes des classes chèrement défendue.
Les trois événements de janvier 2015 (les assassinats des 7, 8 et 9 janvier, la victoire électorale de Syriza du 25 janvier, la démonstration de force de Podemos du 31 janvier) n’ont pas appris grand-chose aux gauches françaises.
Quant aux dirigeants politiques néolibéraux (François Hollande, le gouvernement Valls et la direction du PS), non contents d’avoir tué, dans le temps présent, l’idée de « gauche » en France, ils ont réagi en rajoutant un « catéchisme républicain » à une école des compétences largement dévouée aux désirs du patronat.
À aucun moment, la direction néolibérale autour de François Hollande n’a voulu travailler sur les causes du séisme des 7, 8 et 9 janvier, dont Copenhague a eu droit à une réplique de même nature un mois plus tard.
Son appel à des intervenants extérieurs à l’école pour prodiguer le nouveau « catéchisme républicain » n’est pas de bon augure pour la suite de l’histoire.
Quand à l’Autre gauche, elle se réduit de plus en plus à la fraction idéologique de la petite et moyenne bourgeoisie, qui ne possède plus aucune force propulsive pour s’allier avec la classe populaire ouvrière et employée, majoritaire en France, mais dont la plus grande partie s’abstient aux élections en partie par défiance envers elle.
Pire, n’ayant rien appris de l’histoire des années 30, cette gauche observe, stupéfaite, que les couches déclassées tant de la classe populaire ouvrière et employée que des couches moyennes intermédiaires, lorgnent de plus en plus vers le FN.
Les résultats de la 4e circonscription législative du Doubs sonnent le désastre imminent. Dans une circonscription populaire, le Front de gauche allié au NPA et aux chevènementistes du MRC font 3,6 % !
La voie royale vers la marginalité.
Tirer les enseignements stratégiques
Au lieu de s’inspirer des exemples de Syriza et de Podemos sur les questions stratégiques, l’Autre gauche française se contente de meetings de soutien aux luttes, d’ailleurs sans jamais faire ici et maintenant ce que font ceux qui ont progressé aux élections en Espagne ou en Grèce : pas d’alliances avec les partis austéritaires (en France, alliances de larges secteurs du PCF avec les socialistes notamment), priorité à l’éducation populaire contre l’austérité (refus de l’éducation populaire de l’ensemble de l’Autre gauche française au profit de campagnes dans l’entre soi), agir dans le temps court pour répondre aux besoins du peuple comme dans l’exemple grec : dispensaires gratuits, crèches autogérées, etc. (alors qu’en France, on préfère la méthode du « votez pour moi et ça ira »).
Le communautarisme, maladie infantile de l’Autre gauche
La cerise sur le gâteau revient à la plupart des partis de l’Autre gauche qui viennent de se mettre à la remorque des ultra communautaristes des « Indigènes de la République » (seule la direction du Parti de gauche n’a pas signé cette mascarade politique).
Après la mobilisation des communautaristes catho-empathiques de la « Manif pour tous » contre le mariage pour tous et la « cathophobie », voici l’opération des communautaristes islamo-empathiques pour rassembler en meeting à Saint-Denis contre « l’islamophobie ».
Commençons par noter la confusion de ce pseudo concept qui met dans le même pot les actions de haine contre les musulmans (qui doivent être combattues) et les critiques de la religion (qui doivent être libres dans toute démocratie laïque).
Réunis d’abord en collectif le 13 décembre dernier, les communautaristes des « Indigènes de la république » et leurs amis anti-laïques primaires ont décidé le 8 février de faire un meeting le 6 mars.
Ensemble, ils fêteront à l’avance la déroute de l’Autre gauche aux élections des 22 et 29 mars 2015, qui montrera le fossé qui la sépare du peuple. Il n’y aura pas de transformation sociale et politique en France autour de ceux qui préfèrent la démocratie anglo-saxonne, pivot du néolibéralisme, à la République sociale et laïque, seul modèle alternatif au « mouvement réformateur néolibéral ».
Regrouper tous les opposants aux quelques lois laïques qui restent dans notre pays constitue l’impasse définitive.
Voilà où se sont enfermées les directions du PCF, d’EELV, d’ATTAC, du NPA, associées à l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) proche des l’organisation internationale islamiste des Frères musulmans qui utilisent des conférenciers du type Hani Ramadan ou Hassan Iquioussen dont l’obscurantisme est patent.
Face au néolibéralisme, tout est à reconstruire !
Tirer les enseignements en termes de ligne politique
L’accord intervenu entre les dirigeants de l’Union européenne et Alexis Tsipras et Yanis Varoufakis, respectivement premier ministre et ministre des finances de la Grèce, pour continuer à recevoir les « aides » européennes, pose les questions suivantes :
– « Est-il possible de sortir des politiques austéritaires sans rupture avec les politiques ordolibérales de la zone euro et de l’Union européenne ? » Toutes les Chroniques d’Évariste ont montré que non. Il n’y aura pas d’euro social. L’euro est construit uniquement pour et par les politiques néolibérales européennes.
– « Si rupture il faut, la question devient : quand doit-elle intervenir ? »
Selon nous, cette rupture ne peut pas se faire à froid de façon harmonieuse et idéaliste mais bien à chaud effectué sur ce sujet et donc du soutien populaire qu’il est nécessaire de garder jusqu’au moment de cette rupture.
L’accord accepté par Alexis Tsipras et Yanis Varoufakis entraîne en fait le renvoi à plus tard des promesses électorales sur les politiques de temps court.
Si le gouvernement grec a remis la feuille de route exigée, il a en effet capitulé en rase campagne : il pourra toujours arguer qu’il n’y a plus de Troïka, mais il accepte que les « institutions » (celles de la Troïka !) évaluent les réformes promises avant de donner le feu vert à l’Eurogroupe du jeudi 26 février pour étendre jusqu’à fin juin le plan d’aide, rebaptisé « accord » (l’honneur est sauf), en cours.
Selon Reuters, « l’ignoble Schäuble » (qui a finalement eu le dernier mot, contrairement à ce qu’annonçait triomphalement un tweet de Jean-Luc Mélenchon) aurait jugé le plan grec « cohérent et crédible » et aurait déjà demandé au Bundestag d’accepter cette prolongation en cas de feu vert des « institutions ».
Et plus question de salaire minimum ni de retour sur l’essentiel des mesures d’austérité qu’avait mises en route le précédent gouvernement.
Ça va tousser à Syriza !
Mais au moins, ceux qui s’interrogeaient sur le devenir de l’expérience Syriza, savent maintenant que le gouvernement grec n’a pas renversé la table, contrairement à ce qu’ils espéraient, mais qu’il est bel et bien passé dessous.
Il ne s’agit pas de tirer sur Alexis Tsipras, qui n’avait pas d’autre choix, il s’agit de tirer sur ceux qui ont propagé l’illusion qu’il pouvait en avoir un autre, les « intellos » pour briller, les politiques pour tenter de récupérer la dynamique Syriza-Podemos sans même en tirer les enseignements stratégiques.
Que faire ?
Devant ce désastre annoncé, nous ne voyons pas d’autres chemins que celui qui consiste à engager aujourd’hui un rassemblement de la gauche laïque anti-libérale et anti-capitaliste pour soutenir les initiatives d’éducation populaire existantes et créer les conditions d’une large campagne d’éducation populaire pour la transformation sociale et politique.
http://www.gaucherepublicaine.org/respublica/apres-janvier-2015-lautre-gauche-dans-limpasse/7395352
Les personnalités dites " frondeurs " ou autre gauche pour le PS " ne sont en fait que des nantis tombés par hasard dans la marmite du socialisme sans bien comprendre que nous sommes au XXIème siècle et que nous ne pourrons pas nous en sortir sans passer par le "trou" néo-libéral.... ça ils n'en veulent pas au non de la sacrée sainte luttes des classes chèrement défendue.
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
Parler d'une "autre gauche" signifie que le PS est de gauche. Ce qui est en soi une blague monumentale. Ces trous de balle de Valls, Macron, Hollande et compagnie n'ont rien de gauche.
M'enfin, on ne peut même pas parler de gauche, puisque le Front de Gauche ou le PCF vendent leur cul aux sociaux-traîtres.
La gauche n'existe pas en France.
M'enfin, on ne peut même pas parler de gauche, puisque le Front de Gauche ou le PCF vendent leur cul aux sociaux-traîtres.
La gauche n'existe pas en France.
Wiston- Messages : 968
Date d'inscription : 10/02/2015
Age : 34
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
Comme la "droite"...
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
Toxic Avenger a écrit:Parler d'une "autre gauche" signifie que le PS est de gauche. Ce qui est en soi une blague monumentale. Ces trous de balle de Valls, Macron, Hollande et compagnie n'ont rien de gauche.
M'enfin, on ne peut même pas parler de gauche, puisque le Front de Gauche ou le PCF vendent leur cul aux sociaux-traîtres.
La gauche n'existe pas en France.
La gauche, la vraie n'existe pas c'est certain ! Les types comme Hollande, Macron, Valls etc ... sont des libéraux on ne s'y trompe pas en le disant .
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
ololz gôchedroâte
Saint Crouton Éclairé- Messages : 1506
Date d'inscription : 30/10/2014
Localisation : Au millieu des abysses
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
Super Connard de l'Espace a écrit:ololz gôchedroâte
c'est exactement ça ... parle français ça fera plus sérieux et surtout moins " con" !
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
C'est quoi ces mecs qui se promènent en collant et en broshing dans la forêt ? C'est un kif d'homo ?
Mckay- Tribun
- Citoyen
Messages : 5619
Date d'inscription : 20/05/2014
Niveau débatteur: 5
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
C'est culte !
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
Ok, bon ben quand je fais du 5eme degrès, moi, ça passe pas quoi ! Faites un effort, je le fais bien pour vous !
Mckay- Tribun
- Citoyen
Messages : 5619
Date d'inscription : 20/05/2014
Niveau débatteur: 5
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
McKay a écrit:Ok, bon ben quand je fais du 5eme degrès, moi, ça passe pas quoi ! Faites un effort, je le fais bien pour vous !
Si tu faisais du 5ème degrés et non " degrès" ...ça serait vachement bien
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
Dans une démocratie l'Assemblée aurait été dissoute après une crise pareille. La gauche doit avoir peur de couler dans un océan bleu marine
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
Patriote a écrit:Dans une démocratie l'Assemblée aurait été dissoute après une crise pareille. La gauche doit avoir peur de couler dans un océan bleu marine
Si tu fais référence au 49-3, d'autres l'ont utilisé cet article et l'Assemblée n'a pas été dissoute pour autant ...
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
McKay a écrit:Ok, bon ben quand je fais du 5eme degrès, moi, ça passe pas quoi ! Faites un effort, je le fais bien pour vous !
Et je vous en suis reconnaissant, j'ai bien conscience d'être pénible....
Seulement si on commence à rigoler sur Thierry La Fronde, il n'y a plus de limite !!!
Merl1- Messages : 6020
Date d'inscription : 26/05/2014
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Les frondeurs ou 'lAutre gauche
Pourtant, lui-même était un bouteur.
Mckay- Tribun
- Citoyen
Messages : 5619
Date d'inscription : 20/05/2014
Niveau débatteur: 5
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Mer 14 Aoû - 10:43 par MarieMadeleine
» MarieMadeleine
Mar 13 Aoû - 22:11 par Napoléon III
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Mar 13 Aoû - 22:10 par Napoléon III
» Salut tout le monde !
Sam 3 Aoû - 1:49 par Napoléon III
» Le rire du diable… Bonjour l'euthanasie
Dim 16 Oct - 12:52 par Invité
» Le rire du diable… Bonjour l'euthanasie
Dim 16 Oct - 12:50 par Invité
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Dim 16 Oct - 11:50 par Invité
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Dim 16 Oct - 11:36 par Invité
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Sam 17 Sep - 14:55 par Raptortriote